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mercredi 27 juillet 2050

Bienvenue   Welcome   ⴰⵏⵙⵓⴼ   مرحبا
"Il n'y a qu'un seul bien, la connaissance, et un seul mal, l'ignorance" - Socrate
"Si vous voulez être un véritable chercheur de vérité, il faut qu'au moins une fois dans votre vie vous doutiez, autant que possible, de toutes choses"
René Descartes
Pour trouver la vérité, vous devez d’abord regarder
« Rationalisme contre émotivité »
Rationalisme : « Le rationalisme est toute vision faisant appel à la raison intellectuelle et déductive (par opposition à l'expérience sensorielle ou à tout enseignement religieux) comme source de connaissance ou de justification.
Ainsi, il soutient que certaines propositions sont connaissables par nous par l'intuition seule, tandis que d'autres sont connaissables en étant déduites au moyen d'arguments valides à partir de propositions intuitives.
Elle repose sur l'idée que la réalité a une structure rationnelle dans la mesure où tous ses aspects peuvent être appréhendés à travers des principes mathématiques et logiques, et pas simplement à travers l'expérience sensorielle.
réf : https://www.philosophybasics.com/movements_rationalism.html
L'émotivité consiste à se concentrer sur les émotions plutôt que sur les preuves, une tendance à considérer
les choses avec émotion et/ou une indulgence excessive.

L'attache qui maintient les humains sur la voie d'une humanité progressée ; est notre volonté commune non seulement de fonctionner mais de prospérer dans notre respect ainsi que notre soutien à tous les peuples, souverains individuellement et dans leur unité.
Nous nous élevons en nous entraidant.
Pour avancer nous devons soutenir l'archéologie, l'anthropologie et l'histoire. Nous devons être aux côtés des archéologues, des anthropologues et des historiens, tout en appréciant tout leur travail acharné.
La religion est une foi et une croyance injustifiée.
Le problème de la religion, c’est la foi et la croyance injustifiée. Le problème de la foi, c'est une justification invalide. Et le problème de la croyance, c'est de détenir une fausse croyance injustifiée en croyant qu'il s'agit d'une vraie croyance justifiée.
La religion aime le sectarisme, la haine, le mensonge, la violence, le déni et les explications non scientifiques.
Non seulement la religion ment, mais c'est une théorie du complot sur la réalité.
Les religions sont remplies de pseudoscience, de pseudohistoire, ainsi que de pseudomoralité et d’autres aspects néfastes.

Avis à toute personne qui cherche à connaître la vérité et surtout les jeunes via internet et les réseaux sociaux. Il faut s'intéresser à la vérité appuyée par la science.
La pensée scientifique (et critique) repose sur trois éléments : utiliser des preuves empiriques (empirisme), pratiquer le raisonnement logique (rationalisme) et posséder une attitude sceptique (scepticisme) à l'égard de connaissances présumées. Cela conduit à se remettre en question, à tirer des conclusions provisoires et à ne pas être dogmatique (volonté de changer ses croyances). Ces trois idées ou principes sont universel dans toute la science ; sans eux, il n’y aurait pas de pensée scientifique ou critique.
Nous avons à faire à des manipulateurs idéologiques ou religieux et à des fanatiques de l'histoire écrite qui servent les idées idéologiques et/ou religieuses. Les Etats arabo-islamistes et les Etats maçonniques en occident, engagent beaucoup d'agents des services secrets sur les réseaux sociaux pour vous dévier de la vérité vers leur fausse vérité.
Ressourcez-vous, de diverses manières et forgez-vous, votre propre vérité, en s'appuyant sur ce que dit la science, pour vous sauver et sauver votre peuple du mondialisme maçonnique et de l'arabo-islamisme qui est au service de ce mondialisme.
Wikipédia sert les intérêts des mondialistes ne vous en servez que pour avoir des indices qu'il faudrait vérifier pour connaître la vérité. De nombreux articles sur Wikipédia sont écrits par les arabo-islamistes en ce que concerne l'Afrique du Nord-Ouest et ils sont à 80 % faux.
Au sein de l'impérialisme mondialiste occidental maçonnique qui trouve ses racines chez les Anglo-Saxons à partir du 15e siècle. Il n'y a aucune différence entre la droite et la gauche qui ont le même but. Leur but, c'est l'exploitation de l'énergie humaine et donc l'exploitation des peuples.
Ce n'est pas un hasard ces invasions migratoires que les mondialistes organisent. Les mondialistes visent à faire un maximum d'exploités et de consommateurs de leurs produits et à tirer les salaires au plus bas, afin de faire un maximum de profit. Nicolas Sarkôsi l'a dit ouvertement, travaillez plus pour gagner plus, donc être exploité plus pour consommer plus.
Le plus grand mensonge de tous les temps a été la fraude de la démocratie, depuis sa conception en Grèce. La triste histoire de la démocratie, c'est celle d'un sectarisme continu envers les élites et les esclaves, mais maintenant avec des visages heureux et des visages moins malheureux.
« Une croyance aveugle en l’autorité, c'est le plus grand ennemi de la vérité. » Albert Einstein
L'homme a toujours travaillé en famille ou en petite collectivité pour subvenir à ses besoins alimentaires et autres.
L'exploitation de l'homme a commencé avec les traites négrière et slave, en passant par la découverte de l'Amérique puis la révolution industrielle.
La seule différence qu'il y a entre la gauche et la droite, c'est que la gauche est une dictature inconsciente et la droite est une dictature consciente. Le centre droit penche vers la droite tout en prenant ce qui est bon de la gauche, l'inverse du centre gauche.
En appliquant ce que dit Freud, l’extrême droite serait l’extrême conscience, donc très proche du surmoi et l’extrême gauche serait l’extrême inconscience, donc la névrose.
Mais le meilleur à défendre, sont les peuples et leurs terres. Donc, chaque peuple a sa terre, son histoire et sa nation. Et toute invasion qu’elle soit idéologique, religieuse ou de masses humaines illégales, doit être combattue pour sauver les civilisations des peuples et de l’humanité de façon générale.
L'arabo-islamisme et le Négro-centrisme sont deux idéologies sous-jacentes du mondialisme maçonnique occidental.
Pour l'arabo-islamisme, tous les historiens sont d'accord qu'il n'y a pas d'arabes ou que peu en dehors de l'Arabie. Et la civilisation musulmane n'a que peu de chose à avoir avec les arabes, à part que Mahomet est arabe.
La civilisation ne veut pas dire la religion. La religion n'est qu'un élément parmi de nombreux éléments dans une civilisation.
La civilisation musulmane est une civilisation de nombreux peuples (dits musulmans) de l'Espagne jusqu'à l'Indonésie et de la Mongolie jusqu'à l'Afrique de l'Ouest et de l'Est.
Cette civilisation est composée principalement des peuples caucasiens et en partie des peuples sino-sud-asiatiques , caucaso-mongoloïdes et caucaso-négroïdes.

Quant au Négrocentrisme (afrocentrisme), c'est une invention des mondialistes maçonniques occidentaux pour mettre les noir-africains dans la sauce des civilisations. Alors que les noirs africains n'ont jamais fondé de civilisations.
L'Afrique est un continent composé au nord des populations eurasiennes blanches depuis la nuit du temps, le Sahel et la corne d'Afrique sont composés des caucaso-négroïdes et les négroïdes se trouvent principalement en Afrique centrale et australe où l'archéologie n'a jamais découvert de civilisations, à part celles datées de l'âge de pierre.
Les seules civilisations qu'il y a eues en Afrique sub-saharienne, elles ont été bâties par des Caucasiens migrants afrasiens depuis +- 15 000 ans, comme les Nubiens, les Koushs, les Peuls etc,.
Dans son célèbre ouvrage Races of Africa paru en 1930, Charles Seligman formula la théorie hamitique comme suit : « Les civilisations de l'Afrique sont les civilisations des Hamites... Les migrants hamites étaient des Caucasoïdes pastoraux, arrivés vagues par vagues, mieux armés et d'esprit plus vif que les agriculteurs nègres à peau sombre ».
Ne croyez non plus que vous pouvez changer le monde en un clic de doigts. Notre combat contre les mondialistes maçonniques, pour que les peuples caucasiens retrouvent leurs cultures et leurs civilisations, c'est comme que nous jouons aux cartes contre des tricheurs. Donc, c'est un combat très difficile à gagner parce qu'ils ont tous les avantages. Ils ont le pouvoir et ils ont l'argent ou l'argent qu'ils nous spolient. En plus, ils investissent dans la sous-éducation culturelle à l'école et la sous-culture via les médias par la musique, le cinéma, etc. Et avec ça, ils fabriquent des adeptes à eux, par dizaines de millions chaque année.
C'est pour ça que les peuples caucasiens doivent d'abord se concentrer uniquement sur le vieux monde caucasien et son histoire. Le continent américain ou le modèle américain ne peut nous servir de référence par ce qu'il n'a pas d'histoire. Sa culture et sa civilisation sortent d'une racine criminelle du sang du génocide des Amérindiens et de la traite négrière.
En plus, le continent américain en entier est peuplé de diverses races et peuples qui ne s'attachent qu'à l'argent et pas à leurs terres et leurs civilisations. Suivre le mode de vie américain, c'est faire une société de gros avec la malbouffe, d'incultes et d'handicapés.
Quant aux peuples caucasiens, chaque peuple doit se battre pour son histoire et son espace géographique historique, tout en travaillant en coordination avec les peuples limitrophes pour leurs intérêts communs, comme les cas de l'Afrique du Nord-ouest et de l'Europe latine.
Les problèmes de l'Afrique du Nord-ouest et de l'Europe du Sud ne sont pas les mêmes, mais nous avons des intérêts communs qui sont économiques, socio-culturels et géostratégiques.
Les menaces les plus dangereuses pour les ouest-méditerranéens, aujourd'hui, sont les invasions extra-méditerranéennes dont les invasions noires africaines et l'Arabo-Islamisme. Et ces deux menaces sont orchestrées par le mondialisme maçonnique américano-anglo-saxon.
Pour gagner ce combat, il nous faut beaucoup d'éducation et que tout le monde ouvre les yeux pour l'avenir de nos enfants et sauver la civilisation blanche sinon elle ne sera un jour qu'un souvenir. La seule chose qui joue en notre faveur pour gagner ce combat, c'est Internet.
Soyez des internautes, mais soyez des bons internautes !!!
Avec vos claviers vous pouvez abattre des murs, briser des chaînes et libérer ceux qui sont emprisonnés dans l'Idéologie arabo-islamiste qui est au service de l'impérialisme mondialiste maçonnique occidental.
En Afrique du nord-ouest, il n'y pas d'arabes, mais il y a des ignares qui se voient attribuer une identité idéologique arabe. Personne ne parle ou pratique l'arabe en Afrique du nord-Ouest. La population parle, soit le berbère, soit le darija (punique). Et le punique lui-même n'est qu'une évolution du berbère depuis 3 000 ans pour des raisons commerciales dans la méditerranée Occidentale.
Le monde arabe n'a jamais existé dans l'histoire, il est une construction des colonialistes français et britanniques. Mais, il y a eu un monde musulman et un monde chrétien, sur quoi, tous les historiens sont d'accord.
C’est plus convenable de parler d’un monde sémitophone qu’arabophone et d’un monde sémitique que d’un monde arabe. Le Tamazight (berbère) et le Darija (punique) sont deux langues sémitiques comme l’Arabe, l’Hébreu et d’autres langues sémitiques.
Histoire de Tamazgha (Afrique du nord-ouest) simplifiée par l’ADN et la paléogénétique :
La paléogénétique permet très souvent de confirmer les études anthropologiques, mais elle constitue souvent aussi une nouvelle source d’informations. La paléogénétique permet d’explorer de nouveaux champs de la paléontologie, parfois même sans avoir le début du commencement d’un os !
Pour mieux comprendre le peuplement de l’Afrique du nord-ouest et l’amazighité (berbérité), il faut s’intéresser à ce qui s’est passé depuis le paléolithique supérieur (40 ou 35 000 à 10 000 ans).
Tous les historiens chevronnés de ce monde sont d’accord que l’amazighité (berbérité) s’étend de la mer rouge à l’océan Atlantique et des côtes méditerranéennes sud au fleuve Niger (Nigris).
L’Afrique du nord que les romains appelaient l'Afrique romaine occidentale par ce que l'Égypte n'en fait plus partie depuis la chute de la 23e dynastie pharaonique berbère, fondée par les Mâchaouachs une confédération de tribus qui descendent des peuples de la mer. Mâchaouach deviendra en grecque Mazice (Mazigh au singulier et Imazighen au pluriel).
Les peuples de la mer, après avoir détruit l'empire des Hittites, s'installeront en Libye et dans l'actuel Liban (phéniciens) et Palestine (philistins) pour essayer d'attaquer l'Egypte pour la piller. Mais l'Egypte résistera et intégrera progressivement ces peuples dans l'armée égyptienne jusqu'à la prise du pouvoir par les Mâchaouach (amazighs).
Cet autre chercheur donne sa version sur ces peuples de la mer, en se basant sur les sources égyptiennes de l'époque :
https://www.youtube.com/embed/xfS0Naryk8Y?si=sZNftekEABid3S2a

Ces peuples de la mer étaient au service des Mycéniens comme l'explique ce chercheur pour détruire les Hittites et l'Egypte. Une grande partie des Mycéniens et de ces peuples ont atterri en Afrique du Nord, durant la civilisation punique et même avant, suite à la poussée des invasions indo-européennes sur les Balkans, l'Asie mineur et le proche-orient.
D'autres peuples sont arrivés en Afrique du Nord-ouest, des péninsules italienne et ibérique, suite à ces invasions indo-européennes. Durant ces invasions indo-européennes qui ont duré plus de 1 000 ans, un peuple pousse l'autre comme il a été le cas avec les migrations germaniques.
Ces peuples étaient d'excellents navigateurs et ils ont peuplé toutes les côtes méditerranéennes et atlantiques nord-ouest-africaines, ainsi que les plaines et les hauts plateaux environnants, tout en assimilant les paléoberbères sur place. Et c'est ce que les historiens appellent les néoberbères.
Hétérogénéité de la continuité des populations paléolithiques et expansion néolithique en Afrique du Nord:
https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822%2819%2931241-2

L'ADNmt (maternelle) des nord-ouest-arfricains est eurasien à plus de 90 %, dont plus de 50% de lignées H qui proviennent de l'Ibérie où elles sont datées 2 siècles avant d'arriver en Afrique du Nord. Cela suggère aussi que l'haplogroupe masculin berbère E-m81 était dominant en Ibérie avant d'être remplacé en grande partie pendant l'âge de bronze par R1b suite à des invasions exclusivement masculines en provenance de l'Europe centrale.
En ce que concerne l'ADN masculin Y, il faut évoquer aussi l'effet fondateur en génétique et l'allèle dominant et l'allèle récessif. Et cela ne concerne pas l'ADNmt.
Les lignées peuvent atteindre une fréquence élevée en raison de la sélection biologique, de la sélection sociale et/ou de la dérive neutre.
Dans l'arbre de l'ADN mitochondrial humain (ADNmt), l'haplogroupe L3 englobe non seulement en partie les lignées africaines, mais également toutes les anciennes lignées non africaines. Réf : https://academic.oup.com/mbe/article/29/3/915/1005941
LIRE LA SUITE :
Le linguiste Salem CHAKER confirme que le type proto-méditerranéen est né en Afrique du nord-ouest et il a éliminé l'ibérumaurésien, et il dit qu'il y a de nombreux mots berbères au sein du latin et des langues latines:
L’expansion du Néolithique dans le monde périméditerranéen : tout donne à penser qu’il y eut, voici près de dix mille ans, soit vers – 8 000/-7 500, non pas un, mais plusieurs foyers de néolithisation.
La côte méditerranéenne est atteinte par un courant qui est arrivé par voie maritime du Proche-Orient, du Croissant fertile, au cours du VIIIe millénaire.
L’homme cultive du blé. Il pratique l’élevage. Il fabrique des poteries.
Traditionnellement, on voit progresser ce nouveau mode de vie par deux voies : une voie terrestre introduit le « Néolithique danubien », tandis qu’une voie maritime plus rapide aurait atteint au VIe millénaire la Méditerranée occidentale par l’Adriatique. Franchissant le détroit de Gibraltar, ce Néolithique, dénommé cardial, se serait développé sur une frange du littoral méditerranéen de l’Afrique du Nord sans dépasser Oran vers l’est.
Sur le Néolithique cardial va se greffer le Néolithique méditerranéen. C’est ce qu’ont montré dès la fin du XIXe siècle les riches industries trouvées dans les grottes du massif du Murdjardjo qui domine Oran et plus récemment dans les sites de plein air retrouvés dans les dunes, en bord de mer.
Pour certains, le Néolithique méditerranéen, ou ses influences, s’étendrait loin vers le sud puisqu’on le connaît aux alentours de Laghouat. Vers l’est, le long du littoral, avec une fréquence de moins en moins grande jusqu’à Bejaïa, de nombreux petits sites jalonnent le développement de la céramique méditerranéenne ou d’une céramique de même conception.
Le Néolithique de tradition capsienne serait-il une expression tardive du Néolithique méditerranéen ? Est-il issu de contacts avec le Néolithique des régions méridionales ? On ignore tout de ses origines. Ses plus anciens témoins se placeraient vers
- 4 500. C’est lui qui fut daté à La Table de Jaatcha en Tunisie, et qui, par sa date très basse, a conforté l’idée d’une néolithisation qui ne serait intervenue en Afrique du Nord qu’au IVe millénaire.
L’un des sites les mieux connus, Khanguet Si Mohamed Tahar, se trouve dans l’Aurès.
L’abondance d’épaisses pièces foliacées dans des sites de la région de Tébessa. Il s’agirait probablement d’un faciès néolithique et non paléolithique moyen, mais il est difficile de lui accorder un âge en l’absence de matériaux datables. Il serait récent pour E.G. Gobert ; à l’inverse, pour G. Camps.

Gabriel CAMPS, ESPACES BERBÈRES:
En fait l'Afrique du nord-ouest est peuplée de Méditerranéens, anthropologiquement identiques aux Italiens du Sud de la Péninsule, aux Espagnols, aux insulaires de la Méditerranée occidentale, aux Provençaux, aux Languedociens.
Au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Libye, on reconnaît aussi facilement que dans les pays européens du sud, une variété dite atlanto-méditerranéenne, assez grande et robuste, et une variété ibéro-insulaire, plus gracile.
Qu'ils se disent Arabes ou Berbères, les nord-ouest-africains appartiennent pour 80 % à ces deux variétés du type méditerranéen, le reste est constitué, comme en Europe, d'Alpins au crâne court et face large, de petite taille (environ 10 %) ou d'Arménoïdes à face allongée associée à un crâne court.
En nombre infime s'ajoute à ce stock quelques individus conservant les caractères du type préhistorique Méchta-afalou et quelques métis issus d'éléments négroïdes plus au moins anciens (M-Cl. Chamla, 1974 et 1988).
Une telle recherche révêle ainsi (fig. 1) l'étroite parenté entre tous les Algériens sédentaires du Tell, qu'ils soient dits Kabyles ou Arabes; bien mieux les Kabyles sont beaucoup plus proches des «Arabes» des plaines et des montagnes telliennes d'Algérie occidentale ou d'Algérie orientale que des Chaouïas berbères de l'Aurès et des Mzabites pourtant berbérophones comme eux.
Il n'y a pas, pas plus dans le Tell que dans le Sahara, des Arabes et des Berbères, mais des Berbères berbérophones et des Berbères arabophones et arabisés; il y eut aussi des Berbères judaïsés, dont il ne subsiste plus que de minuscules communautés,
particulièrement au Maroc. LIRE LA SUITE

En Afrique du Nord, l'Arabo-islamisme doit périr et le nègre doit partir…

Les nord-ouest-africains doivent avoir une conscience identitaire, culturelle et politique, pour organiser la Reconquista de l’Afrique du nord-ouest afin de s'unir pour se développer et évoluer. L'Arabo-Islamisme est incompatible avec nous. Les nord-ouest-africains doivent faire une rupture étymologique et épistémologique avec l'arabo-islamisme et le moyen-orient.
La culture et la civilisation des nord-ouest-africains sont ancrées dans les civilisations de la méditerranée occidentale depuis des milliers d'années avec la révolution néolithique puis la civilisation punique, romaine et pendant les dynasties musulmanes amazighes (berbères) qui prospéraient économiquement avec des échanges commerciaux avec les chrétiens d'Europe du sud.
Malheureusement, les invasions barbares ottomanes ont mis fin à cette prospérité économique et ce pacifisme entre chrétiens et musulmans.
Aujourd'hui, tout nord-ouest-africain doit savoir et comprendre que notre souffrance a commencé avec les invasions barbares ottomanes qui ont ravagé tout le pourtour méditerranéen qui prospérait du commerce entre les deux rives de la mer méditerranéenne.
Nous n'avons rien contre les peuples d'Asie mineur (l'actuelle Turquie) qui sont à 80 % des Caucasiens (europoïds) comme nous. Et ils sont victimes du fanatisme des turco-mongols qui ne sont que 20 % de la population, en Asie mineur qui est le vrai nom de cette région et pas la Turquie.
Et nous ne sommes pas encore sortis de l'auberge avec le fanatisme arabo-islamiste que les Ottomans ont implanté chez nous depuis 400 ans.
Alors que l'Afrique du nord-ouest a toujours été pacifique et a accueilli de nombreux réfugiés et peuples en détresse. Plus de la moitie des nord-ouest-africains sont issus des réfugiés depuis les invasions indo-européennes sur l'Europe, il y a 4 000 ans, suivi des migrations germaniques causées par les invasions turco-mongoles sur l'empire germanique.
Ces populations arrivées depuis 4 000 ans par la mer de façon continue jusqu'aux invasions arabo-musulmanes, les historiens les appellent les néoberbères, contrairement au paléoberbères d'avant l'antiquité.
Les Protoméditerrranéens Capsiens sont les artisans de l'identité et de la culture berbère à laquelle les Mechtoïdes ont contribué tout en s'y intégrant.
Trois estimations pour l'émergence de la langue berbère:
Pour Christopher Ehret, la dernière fragmentation de la famille afrasienne, celle des Boréafrasiens - qui se situe vers les IX/VII millénaire - se manifeste dans un ordre chronologique, le sous-groupe proto-égyptien étant le premier à s'en détacher suivi du proto-sémite et du proto-berbère.
Pour Salem Chaker, et c'est une deuxième estimation, l'individualisation du berbère se situerait entre le Xe et le IXe millénaire et cette langue ne peut découler d'aucune des deux autres, même si ces trois familles linguistiques (égyptien, sémite, berbère) ont pu un temps se chevaucher dans leur expression lexicale.
Quant à l'application glottochronologique, troisième estimation, elle fait diverger le berbère, en premier lieu du couchitique (ensemble de langues parlées dans l'Afrique de l'Est) puis de l'égyptien, et enfin, en dernier lieu, du sémitique.
Les premiers berbères:
https://drive.google.com/file/d/1mI6R06TAbcRLuj_dVDi59XEZcO7_Q8y8/view?usp=sharing
Le punique est une version améliorée de Tamazight (le berbère) après la fondation de Carthage par ces néoberbères suite à la chute de leur 23e dynastie pharaonique en Egypte, après avoir rapatrié leur arsenal militaire et leur or en Libye et en Tunisie.
La chute de la 23e dynastie pharaonique berbère a été causé leur colonie le royaume Koush ou nubien.
Il ne faut pas croire l'histoire romantique racontée par les arabo-islamistes et les mondialistes, que c'est Didon, une jolie femme qui reçut un terrain des Berbères pour s'y installer et elle a fondé Carthage.
Le punique est devenu ainsi la langue officielle et commerciale dans la presque totalité de la Méditerranée de l'Ouest. Aujourd'hui, le darija (dit arabe) est composé à plus de 60 % du punique, +- 20 % du latin et des langues éteintes comme l'étrusque, ainsi que +-20 % d'arabe.
Le darija est similaire à La langue maltaise.
Une étude récente (d'abord en 1997, puis reprise en 2003) par des linguistes chevronnés dont E.Eliman, montre clairement que le substrat punique représente environ 61 % de l'actuelle darija (dit arabe par les arabo-islamistes) langue vernaculaire majotitaire en Tamazgha (Afrique du nord-ouest).

ABDOU ELIMAM : du Punique au Maghribi (Darija) Trajectoires d'une langue sémito-méditerranéenne, on sait qu'elle se sépare du phénicien et que ses traits se spécifie dès le VIIe siècleav. J.C. Nous avons affaire à une langue nord-ouest-africaine qui se singularise et prend ses traits spécifiques qui la distinguent dorénavant de la langue phénicienne.
Rappelant-nous que les langues natives se reproduisent et traversent l'histoire.
Le fait punique ne saurait être incontournable. Car vouloir démenir l'histoire de l'Afrique du nord-ouest de son passé punique revient à lui spolier la mémoire; mémoire qui est pourtant bien présente derrière ses mots, ses traditions, ses techniques agricoles, etc. LIRE LA SUITE :
https://drive.google.com/file/d/1oBHwLe2eWlIAb_NaBRXgnm8EWBjcK1Gj/view?usp=drive_link

ABDOU ELIMAM LORS D’UNE CONFÉRENCE :
La langue arabe classique n’est native de nulle part et sa socialisation est donc impossible Il faut aller vers un bilinguisme positif avec le couple berbère et maghribi(Darija), qui sont les deux langues natives des nord-oues-africains.
Pour ce linguiste natif d’Oran, il est temps de réfléchir ensemble sur une perspective qui lie les sorts de ces deux seules langues de de l’Afrique du nord-ouest”, car a-t-il expliqué, elles constituent un patrimoine millénaire et elles se reproduisent depuis des siècles, quels que soient les pouvoirs et les puissances.
Conférence d'Abdou Elimam - Regards sur 3000 ans de "Darija", dialecte maghrébin
https://www.youtube.com/embed/e8Hx43e-w3o?si=nWaW0NTQ_SIMch9G
Débat avec le linguiste Abdou Elimam sur la darija :
https://www.youtube.com/embed/oeA2FOxyew4?si=Gz1G5WBpXmxbuSSi
La langue zénète à l'état initial et très proche du punique, elle est encore parlée au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Libye, en rouge sur la carte ci-dessus.

En Afrique du Nord, les Zénètes sont concentrés de Tripoli jusqu’à Tanger, on les retrouve aussi autour du delta du Nil dans le Gouvernorat Al-Gharbeya, en Égypte dont la majorité se dit Arabe. Ce qui représente une grande masse humaine sur l’échelle de la population nord-africaine.
En 1981, Gabriel Camps stipule que les Zénètes sont des néoberbères.
Les Zénètes sont aussi localisés dans les anciennes villes du Nord du Maroc et d'Algérie et aussi dans le Sahara.
Ibn Khaldoun souligne que toutes les tribus qu'elle soit Kutama ou Houaras ou Zénètes ou Sanhadja vivaient ensemble au Nord dans les temps reculés. Les études sur le Tifinagh montrent que cet alphabet est spécifiquement zénète.
Le célèbre anthropoloque italien Giuseppe Sergi confirme par ses recherches archéologiques et paléoanthropologiques dans son livre: La race méditerranéenne (Eurafricaine), que c'est l'alphabet Tifinagh qui a donné naissance à l'alphabet grecque et phénicien. L'alphabet punique n'est qu'une version améliorée de Tifinagh.
Plus de 80 % des arabophones ou de ceux qui se disent arabes sont des zénètes.
En Tunisie, la majorité des Tunisiens sont Zénètes et parlent uniquement le darija (dit arabe) et n'ont aucune idée de leur passé, ce qu'Ibn Khaldoun confirme et que E.F. Gautier déclare aussi.
Dans l'Antiquité, le terme Zénète est mentionné sur une statue provenant de Mauritanie césarienne en Algérie centrale et conservée au Musée de Cherchell Clavdivs Zenati.
À la fin de l'empire romain et suite à sa faillite, une grande partie des zénètes tunisiens et libyens ont migré vers l'ouest, suivi d'une colonisation pastorale des territoires pré-sahariens gétules (ancêtres des sanhadjas).
Cette migration des zénètes libyens et tunisiens via L'Atlas tellien et en suivant les routes construites par les romains, a permis la jonction terrestre entre les zénètes nord-marocains et ouest-algériens déjà installés dans la région depuis la civilisation punique.
Ces migrants zénètes chrétiens donatistes pérsécutés sous l'empire byzantin qui persécutait les chrétiens donatistes et arianistes, ont fondé de puissants royaumes berbères indépendants, dont celui d'Altava. La chrétienté a perduré dans ces régions jusqu'au 10e siècle. Et elle a disparu, suite à la dynastie senhadjienne fanatique des al-morabits venue du Sahara mauritanien. Cette dynastie persécutait tout non-musulman.
Ce n'est pas la première migration d'Est en ouest des zénètes. Il y en eu d'autres attestées par des documents datant de la civilisation punique que les zénètes se trouvaient sur toutes les côtes atlantiques marocaines jusqu'à la Mauritanie actuelle,voire même avant.
Les néoberbères étaient d'excellents navigateurs et ils descendent en grande partie des peuples de la mer. Les guanches des îles Canaries en est la preuve. Ils sont arrivés sur ces îles, il y a 2 500 ans et ils sont proches sur le plan génétique des néoberbères comme les zénètes mozabites. En s'installant sur ces îles Canaries paradisiaques, les guanches ont oublié la navigation. Grâce à leur connaissance de la navigation, les néoberbères ont conquis toutes les côtes nord-africaines de l'Atlantique jusqu'en Egypte. Et grâce au cheval le barbe zénète dont ils maîtrisaient la domestication, ils ont conquis aussi, les plaines et les hauts plateaux tout en assimilant les paléoberbères sur place. Donc, en fin de compte, nous sommes tous des Berbères. Nous sommes une fusion de divers peuples.
Le cheval genet (zénète) se trouve aussi en Espagne et en Amérique latine.
La migration des zénètes datant de la fin de l'empire romain a peuplé toute la région pré-saharienne historiquement habitée par les senhadjas (des descendants des Gétules) qui ont dû reculer vers le sud, même jusqu'en Afrique de l'Ouest.
Ibn khaldoun avait dessiné une carte des tribus Botrs de langue zénète en blanc, ainsi la direction de leur migration.
Selon Ibn Khaldoun, il y a les Berbères et les Zénètes deux races distinctes en Afrique du nord-ouest.
Il faut rappeler au lecteur que nous appartenons tous au même stock de population et notre génétique est à +-80 % la même. Les différences linguistiques sont dues à l'isolement de ces 3 groupes de population nord-africaine.
Les masmoudiens habitent principalement les montagnes, les senhadjas habitent principalement le désert et les botrs de langue zénète habitent principalement les côtes, les plaines et les hauts plateaux.
Certaines communautés de senhadjas habitent aussi les montagnes d'Atlas marocain et d'Algérie en dehors du Sahara. Les Sanhadjas de Srayr dans les montagnes du Rif centrale ne s'y sont que depuis la dynastie Saadienne senhadjienne par ce qu'IBN khaldoun ne les a pas mentionné sur cette carte établie au 14e siècle.
Cette dynastie se dit arabe, mais elle est senhadjienne. La Dynastie alaouite se dit aussi arabe, mais elle est zénète.
En Afrique du nord-ouest, les pouvoirs politiques ont toujours basculé entre les senhadjas et les zénètes, depuis les invasions arabo-musulmanes, en instrumentalisant l'Islam.
Selon Jacque-Menier, ils auraient eu deux voies d'immigrations juives vers le Nord de l'Afrique, l'une des côtes maritimes à l'époque phénicienne et l'autre par la voie des oasis sahariennes. Plusieurs régions furent habitées par les Juifs (Cyrénaïque, Égypte, Tripolitaine, Fezzan).
P. Sebag affirme que la Berbérie orientale a accueilli plusieurs personnes qui professaient le judaïsme au temps du roi Salomon et lors de la destruction du temple. Ainsi, de nombreux autochtones se sont convertis au judaïsme. Des Zénètes furent signalés dans la Cyrénaïque comme le cas des Luwata. Et il y avait des populations Berbères zénètes judaïsées, selon plusieurs historiens, dont Ibn Khaldoun.
D'ailleurs même Moïs et Jésus sont des Berbères d'après cet expert en archéologie et en histoire :
Origines des Juifs d'Afrique du Nord :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Origines_des_Juifs_d%27Afrique_du_Nord
L'unité de l'Afrique du nord-ouest, est attestée par l'archéologie depuis le paléolithique moyen avec la civilisation atérienne nord-africaine en passant par le néolithique avec la naissance de la langue berbère au sein des capsiens qui sont une fusion de natoufiens (protoméditerranéens) et des ibérumaurésiens (cromagnonoïd).
Yves Gauthier directeur de recherche au CNRS (Physique) en retraite. Spécialiste de l’art rupestre et des constructions lithiques : les arts rupestres en Afrique du nord-ouest, un immense chantier : https://drive.google.com/file/d/1wllIy1bsC8lhFzm8OEqJcRX9XisyyDV8/view?usp=drive_link
Il faut retenir que la population amazighe (berbère) s'étendait jusqu'au Darfour de l'actuel est-soudan. Ces Berbères ont bâti la culture Tora qui a duré jusqu'aux
12 siècles. Ces Berbères ont été chassés par les nègres appelés Dadjo et qui y sont toujours.
Il faut rappeler aussi que les invasions hilaliennes (dit arabes) ne sont pas totalement arabes, ils sont composées aussi, voire majoritairement de ces Berbères qui avaient fui vers la haute Egypte à partir du Darfour. Et c'est la raison pour laquelle les almohades berbères ont eu pitié des hilaliennes, après les avoir battus et ils les ont intégrés dans leur armée au lieu de les liquider. Et c'est pour cela aussi que la génétique des nord-ouest-africains est berbère à plus de 95 %. Les 2 ou 3 % arabes de notre génétique peut provenir des Cananéens ou des Phéniciens qui avaient migré vers l'Afrique du Nord, il y a 3 000 ans, voire même des juifs.
La civilisation arabo-musulmane est une civilisation purement orientale (arabe, perse et mongole), ce qui la rend incompatible avec nous.
Cette incompatibilité nuit au développement et à l'évolution de l'Afrique du nord-ouest qui depuis des milliers d'années inter-agit économiquement, culturellement, etc., avec l'Europe du sud.
Vous devez savoir que si des peuples sont au sommet de la prospérité, aujourd'hui, c'est par ce que ces peuples connaissent leur histoire.
L'Allemagne et le Japon ont été dévastés pendant la 2e guerre mondiale, mais leurs peuples ont réussi à tout reconstruire en 2 décennies, par ce qu'ils connaissent leur histoire.
Nous, si nous apprenions à connaître notre histoire, nous pouvons mettre fin à cette dévastation arabo-islamiste en Afrique du nord-ouest et tout reconstruire aussi.
La déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : «Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs».
Salem Chaker (linguiste) luttes des berbères:
https://drive.google.com/file/d/1W0Ryke68nRuGO8o-7HJtQz7s6AzfCzC7/view?usp=sharing
Les études ADN confirment ce que les historiens ont toujours affirmé : l'apport arabe est très minoritaire dans les populations nord-africaines (Ibn Khaldoun, Gabriel Camps, Stéphane GSELL, etc.), car quelques dizaines de milliers d'envahisseurs arabes n'ont pas pu, matériellement, changer des millions de Berbères en Arabes.
D'autant plus que les arabes ont été battus et expulsés d'Afrique du nord-ouest suite à la bataille de Bagdoura et la victoire des zénètes Kharidjites dissidents, sur les Omeyyades arabes fanatiques en 740 qui marque la fin du Califat en Afrique du Nord et la formation des premiers royaumes indépendant en Afrique du nord-ouest.
Aperçu
Les quelques milliers d'Arabes qui étaient restés en Tunisie ont été achevés par les fatimides Berbères vers l'an 900. D'après el Bekri, plus de 35 000 arabes ont été massacrés rien que dans une mosquée à Tripoli en Libye:
https://drive.google.com/file/d/1yk5aJvfUANxko9kbamLwLFn8qexMHZY0/view?usp=sharing
Quant à l'Etat des Omeyades en Andalousie, il était aux mains des Berbères et principalement les berbères zénètes.
Et la génétique montre que le génome arabe en Andalousie est beaucoup moindre, alors que le génome berbère dépasse les 80 % à certains endroits et un minimum de 20 % partout en Espagne :
https://www.eupedia.com/genetics/spain_portugal_dna.shtml#middle_ages.
Le verdict des chercheurs, de l'ADN et des historiens, est sans appel : l’identité arabe (ou arabo-musulmane) de l'Afrique du nord-ouest relève plus du fantasme que de la réalité.
Ce fantasme a été injecté dans les têtes et les esprits à une époque récente :
nos pères, nos grands pères et nos aïeux, certainement plus réalistes, n’ont jamais revendiqué cette filiation douteuse, inventée par les monarchies pétrolières et leurs valets islamistes.
En psychologie, un fantasme est une construction consciente ou inconsciente, permettant au sujet qui s’y met en scène, d’exprimer et de satisfaire un désir plus ou moins refoulé, de surmonter une angoisse.
Oublier ses ancêtres, c’est être un ruisseau sans source, un arbre sans racines.
Nous sommes d’abord amazighs en grande majorité.
Une fois notre socle identitaire récupéré, on ne niera pas qu’on participe à l’arabité, à la francité, à l'espanité, à l'italianité, à la méditerranée, à l’islamité, à l’africanité et à la défense des citoyens juifs, chrétiens ou athées.
La présence Amazigh en Afrique du nord-ouest remonte à plus de 25 000 ans avec la civilisation Ibéromaurusienne, il y a un fait Amazigh continu et il continuera d’exister.
Personne ne choisit ni ses parents géniteurs, ni le sol où il naîtra, ni la langue maternelle, ni la couleur de sa peau. Nous avons une continuité historique à faire valoir.
Nous sommes d’abord Amazighs, nous sommes le résultat d’une formation historique, ouverts sur le reste du monde et sur le progrès.
L'Arabo-Islamisme doit périr. L'arabe n'est pas une langue des sciences et n'a plus d'utilité en Afrique du Nord.
L'Islam doit gagner ses lieux de culte comme toutes les religions et laisser le peuple nord-africain prendre son destin en main.
Il faut interdire tout ce qui n’est pas prouvé par la science dont les prosélytismes religieux.
Il faut une décolonisation idéologique, une rupture étymologique et une rupture épistémologique avec le moyen-orient, pour avancer.
Il n'y a pas d'Arabes en Afrique du nord-ouest, c'est juste un mensonge véhiculé par les Etats mafias arabo-islamistes en Afrique du nord-ouest.
L'utilisation de la pensée islamique en Afrique du nord-ouest comme un outil idéologique a conduit à des dictatures tyranniques qui ont construit un nationalisme arabe par des méthodes mythologiques.
Le Coran est un discours de stupeur mythique.
La religion, c'est une entreprise de culpabilisation des forts, inventée par les faibles pour s'approprier le pouvoir.
Aujourd’hui, les faibles avec la religion sont une menace pour l’humanité entière.
Les forts n’ont pas d'autres choix que d’agir par leur force et d’éliminer la faiblesse de ces faibles religieux pour les faire aimer la vie, la paix et l’amour.
La liberté, c’est d’être ce que nous sommes, au lieu de perdre du temps à aller contre ce que nous sommes.
Aperçu
L'arabe n'est qu'un intrus avec le mensonge d'abord religieux et puis idéologique en Afrique du Nord, il est capable de s'allier avec le diable pour ses intérêts au détriment des autres peuples.

Les Arabes ont besoin de pierres pour cuisiner et ils les prennent aux murs des maisons qu'ils détruisent. Ils ont besoin de bois pour leurs tentes et ils abattent les toits. La véritable nature de leur existence, c'est la négation de la construction qui est le fondement de la civilisation. Leur nature, c'est le pillage. . Rien ne les arrête pour prendre le bien d'autrui. Ibn Khaldun (père de la sociologie et de nombreuse théories scientifiques), un savant amazigh (berbère) baptisé arabe.

Paul Topinard 1881:

on ne trouve jamais le berbère désœuvré, il est actif, entreprenant, sa présence est une source de richesse.
L'Arabe, au contraire, il est paresseux, indolent, nomade et il peut rester neuf mois à ne rien faire.

Fait caractéristique, dit le docteur A. Warnier :

en Algérie, on peut affirmer, sans craindre de se tromper, que là où le sol présente un aspect désolé, sans arbres, on est en territoire arabe, et que là où existent de belles cultures, de beaux arbres, des bois et des forêts, on est en
territoire berbère.
Le dernier chiffre, le plus probable de la répartition des deux populations indigènes pour toute l'Algérie, a été calculé approximativement en 1864 par le docteur A. Warnier.
Il s'élevait à 2 200 000 Berbers et 500 000 Arabes, en nombres ronds total de
2 700 000 d'habitants.
Quant à la majorité, à ceux qui paraissent être les vrais berbères, quoique leur langue offre des rapprochements avec l'égyptien, je croirais plutôt qu'ils sont de race aryenne, et qu'ils sont arrivés en Afrique du nord-ouest longtemps avant la venue des celtes et des autres aryens en Europe.
Ce qui est confirmé, aujourd'hui, par les études archéologiques, paléoanthtropologiques et l'ADN :
https://www.eupedia.com/europe/Haplogroup_R1b_Y-DNA.shtml#Neolithic
Le berbère, une même langue s'étendant de l'Egypte à l'océan Atlantique et depuis la Méditerranée jusqu'au Soudan (fleuve Nigris ou Niger), cela dénote bien un peuple, une race.
Nous appellerons berbère la population qui résulta du mélange des Libyens indigènes avec les blonds du Nord.
On y trouve encore des blonds disséminés et même agglomérés sur certains points.
LIRE LA SUITE: https://drive.google.com/file/d/1NVDMXAfns7vHqQ4eybsn76tlcLWTdggT/view?usp=sharing

L'origine du bétail européen : preuves de l'ADN moderne et ancien des introductions en provenance d'Afrique du Nord
https://www.pnas.org/doi/full/10.1073/pnas.0509210103
Le cheval également a été introduit bien avant les invasions indo-européennes en Ibérie. L'histoire du cheval en Ibérie et en Afrique du Nord à travers l'ADN ancien : https://repositorio.ul.pt/handle/10451/28846
Islam radical: Que faire ? avec Mohammed Arkoun
La théologie a disparu de la pensée musulmane au 13 eme siècle et l'Islam a été dissous. Cela a conduit à la désintégration de l'Islam pendant 5 siècles.
Aujourd'hui, l'ignorance est institutionnalisée dans ce qu'on appelle le monde arabe (80 % de la population n'est pas arabe génétiquement). Ainsi la société musulmane et principalement la société nord-africaine, est dépossédée de ses biens par les marabouts (oulémas, imams arabo-islamistes: Péroncel-Hugoz Péroncel-Hugoz, Le Radeau de Mahomet).
L'Islam radical post-colonial est né avec les partis Etats (partis uniques). Ces partis ont confisqué le pouvoir aux peuples, dans tout le monde musulman, suivi de l'arabisation sauvage et le génocide des cultures des peuples musulmans.
L’islamologie appliquée analyse les problèmes politiques liés au post-colonialisme. M. Arkoun considérait que les hommes politiques refusaient alors de prendre en compte la réalité de l’histoire de l'Islam et de la culture arabe, ainsi que les particularités culturelles, sociales et anthropologiques des pays de L'Afrique du nord-ouest. Cette discipline analyse les contradictions d'une histoire ainsi que les différences entre le monde musulman et le monde occidental et les différents discours qu'ils expriment.
Islam : Combats et propositions.
Elle identifie selon Mohammed Arkoun « les déploiements de la dialectique continue de quatre puissances à vocation hégémonique cherchant à réduire à l'état de résidus, voire à éliminer quatre forces directement antagonistes qui luttent pour la survie.
Mohammed Arkoun est un intellectuel algérien qui s'inscrit dans la tradition des Lumières françaises, historien, islamologue et philosophe.
Il est internationalement reconnu, comme l'illustre par exemple les Gifford Lectures qu'il donna en 2001, intitulée « Inauguration d'une critique de la raison islamique ». Il fut, entre autres, professeur émérite d’histoire de la pensée islamique à (Paris III), et enseigna l’« islamologie appliquée », discipline qu'il a développée, dans diverses universités européennes et américaines, en référence à l'anthropologie appliquée de Roger Bastide. Parmi ses sujets de prédilection, l’impensé dans l’islam classique et contemporain.
Mohammed Arkoun, humaniste, laïque, était un militant actif du dialogue entre les religions, les peuples et les hommes. Spécialiste de l'islam, il plaidait pour un islam repensé dans le monde contemporain. Il y a consacré de très nombreux ouvrages dont La Pensée arabe (Paris, 1975), Lectures du Coran (Paris, 1982), Penser l'islam aujourd'hui (Alger, 1993), ou encore The Unthought in Contemporary Islamic Thought (Londres, 2002). LIRE LA SUITE

Mohamed Arkoun (antropologue):
qu'est ce qu'un Nord-africain
Pierre Razoux : les recompositions géopolitiques en Méditerranée
Écrasons la vermine arabe, stop à l'obscurantisme arabo-islamiste
Qui parle à Qui, de Quoi, Comment, Quand, Où et Pourquoi.
Personne au Maroc et en Algérie n'a comme langue maternelle l'arabe classique ou l'arabe moderne.
Les Marocains et les Algériens ont comme langue maternelle, soit le berbère, soit le dialectal (dit arabe) qui est un mélange de Berbère, d'Arabe, de langues latines et du Punique. Les structures syntaxiques, grammaticales, la conjugaison de ce dialectal, tiennent de Tamazight (le berbère).
Ce dialectal existe depuis la civilisation punique (carthaginoise), Une sorte de lingua franca né de la langue berbère des paléoberbère branès (barnous) et largement de la langue zénète des néoberbères depuis l'avènement des Phéniciens suite aux mouvements des populations.
Les nord-ouest-africains parlent, en majorité, cette langue commune, la darija ou derji. Cet ensemble de parlers populaires est appelé maghribi par les linguistes, ou langue maghribia ou maghrébia.
Les mots puniques sont souvent exactement les mêmes que nous utilisons aujourd'hui, dans le darija.
Plusieurs siècles plus tard, après l'islamisation de l'Afrique du nord-ouest, la langue arabe moderne reprendra les mêmes mots puniques ou punico-berbères.
Lexique des mots puniques dans ce dialectal (dit arabe) : https://numidia-liberum.blogspot.com/2012/11/parlez-vous-carthaginois.html.
La langue maghrébia (dialectal dit arabe) a précédé, en Afrique du nord-ouest, la langue arabe de plus de mille ans, il est donc absurde de prétendre que la langue maghrébia est un dialecte de la langue arabe.
C’est, historiquement, faux.
Les mots communs aux langues arabe et maghrébia sont, à l'évidence, des mots maghrébis et non pas arabes.
Abdou Elimam découvre que la langue introduite par les Phéniciens en Afrique du nord-ouest, le punique, s'avère langue substrat (à hauteur de 50% en moyenne) dans les parlers contemporains de l'Afrique du nord-ouest et de Malte.
Rejoignant Charles A. Fergusson et bien d'autres linguistes orientaux, Abdou Elimam nomme maghribi cette identité linguistique polynomique et au substrat punique (1997, 2003)".
Les néoberbères zénètes issus des peuples de la mer comme les Phéniciens, pratiquaient largement la religion judaïque, ce qui laisse penser que des mots hébreux en sont issus aussi. Et les néoberbères zénète représentent +- 50 % de la population nord-africaine, selon IBN Khaldun.
Pendant la période où le punique est parlé, il change progressivement sous l'influence des langues berbères anciennes dont le Numide et le Libyque, en néo-punique, se différenciant de plus en plus du phénicien.
D'après de nombreux linguistes, c'est le groupe linguistique zénète qui a empunté de nombreux mots au punique comme aux langues romaines.
Les Origines préhistoriques de l'Ecriture PAR RM. GATTEFOSSÉ:
Il y a eu autrefois une langue universelle. Nous avons trouvé dans la langue Berbère ou Tamachèque une de ces langues primitives, datant incontestablement de la période mégalithique, et son étude est particulièrement attachante.
On a classé, arbitrairement, le Berbère parmi les langues pré-sémitiques, à cause d'un certain nombre d'analogies entre cette langue et l'hébreu. On doit voir cependant, dans la langue Berbère, une langue très particulière dont l'origine est nordique.
La survivance du Basque, les inscriptions et les médailles de Marseille, que l'on a essayé de traduire par du Grec primitif, mais qui sont du Numide ou du Celtibérien, montrent que le berbère Tamachèque, langue hyperboréenne et atlante, fut longtemps parlé, dans le Sud de la France, par les tribus dolichocéphales d’origine nordique.
Le célèbre anthropologue italien Sergi (référence mondiale), dit aussi que c'est l'alphabet berbère libyque (Tifinagh) qui a donné naissance à l'alphabet grec et aussi à l'alphabet phénicien.
L'alphabet ne peut naître brutalement sans un long processus antérieur de perfectionnement à partir d'autres types d'écriture.
L'écriture GLOZEL, Ce type d'écriture n'est pas unique. Il existe de nombreux alphabets anciens très voisins, dans les écrits dits Italiques, Ibériques (Alvao au Portugal, etc). Cette écriture a servi à noter une langue, pré indo-européenne, pré étrusque, vieux fond auquel il faut se référer pour en trouver la clé...et dont il subsiste des racines dans l'irlandais, l'islandais, le finnois et le norrois.
Le "glozélien" est surtout connu du grand public au travers de tablettes d'argiles, souvent publiées. En revanche, il ignore que ces "signes" se retrouvent sur la majorité des objets découverts et sortis du Champ des Morts par le Dr Antonin Morlet entre les deux guerres. Sur la plupart de ces pièces (sculptures, gravures sur pierre, sur os, sur ivoire, bois de renne ou de cervidé) sont associés les mêmes signes que ceux tracés sur les tablettes d'argile, démontrant l'homogénéité indiscutable de la station et du gisement.
Plus de 50 millions de nord-ouest-africains parlent parfaitement le berbère.
Le processus de reberbérisation peut doubler ce chiffre en 2 ou 3 générations et éradiquer l'arabité qui est une importation étrangère sans aucun intérêt pour le peuple nord-africain, à part les fanatismes religieux et idéologique.
Langues berbères, les arabo-islamistes parlent de 27 langues de tamazight (berbère). Mais en réalité, il y en a 2 variantes qui ont la même base. Il y en a le groupe linguistique zénète, la différence entre les variantes zénètes n'est que de +- 5 %. Il y a le groupe Branès (non zénète), la différence qui est entre le groupe linguistique zénète et non zénète, n'est que de +- 20 %.
Les intérêts des nord-ouest-africains sont avec les péninsules ibérique et italienne, comme cela a été depuis la nuit du temps et nous partageons +- 50 % de notre génétique avec ces peuples du sud de l'Europe et moins de 5 % avec l'Arabie.
Nous, nous sommes en phase d'industrialisation et on a besoin d'eux pour la construction de notre industrie lourde. Eux, ils ont besoin de nous aussi pour y écouler leurs marchandises.
L'arabo-islamisme n'a rien à voir avec l'Islam. L'Islam est une religion et il fait partie de la liberté personnelle. Sa place, elle est dans ses lieux de culte et au ministère du culte et pas dans la constitution et les lois qui en découlent.
L'arabo-islamisme est une idéologie arabiste qui instrumentalise l'Islam auprès des populations autochtones fragiles et ou ignorantes, tout en important la misère sahélienne pour gonfler ses rangs.
L’avenir appartient à la science et la religion n’en a, au contraire, à peu près aucun et l’époque de la métaphysique est derrière nous.
Imam dingue
IBN Khaldoun: LA CIVILISATION CHEZ LES NOMADES ET LES PEUPLES DEMI-SAUVAGES ET CHEZ CEUX QUI SE SONT ORGANISÉS EN TRIBUS
PHÉNOMÈNES QUI S’Y PRÉSENTENT. PRINCIPES GÉNÉRAUX. — ÉCLAIRCISSEMENTS.
La vie nomade et la vie sédentaire sont des états également conformes à la nature. L’existence de la race arabe dans le monde est un fait conforme à la nature.
Tout pays conquis par les Arabes est bientôt ruiné.
Les habitudes et les usages de la vie nomade ont fait des Arabes un peuple rude et farouche. La grossièreté des mœurs est devenue pour eux une seconde nature, un état dans lequel ils se complaisent, parce qu’il leur assure la liberté et l’indépendance. Une telle disposition s’oppose au progrès de la civilisation.
Se transporter de lieu en lieu, parcourir les déserts, voilà, depuis les temps les plus reculés, leur principale occupation. Autant la vie sédentaire est favorable au progrès de la civilisation, autant la vie nomade lui est contraire. LIRE LA SUITE :
https://combatdetous.blogspot.com/p/blog-page.html
Aperçu
Il faut que ces peuples du nord de la méditerranée occidentale sachent que la lutte anti-arabo-islamisme, elle est aussi leur lutte à eux pour leurs intérêts économiques et la stabilité de la région.
Aperçu
Si la science avec des scientifiques chevronnés n'a pas trouvé de réponses à tout ce qui est métaphysique, comment les imams et les barbus islamistes vont en trouver avec le Coran vieux de 1 500 ans, écrit par des attardés mentaux assoiffés du sang et de la violence.
Ceux qui s'intéressent à la religion doivent avoir un minimum de connaissances de la métaphysique et des systèmes philosophiques : monisme, dualisme et pluralisme, pour ne pas brûler des étapes.
Cela les empêchera de tomber dans le piège de l'idéologie arabo-islamiste et de faire du mal d'abord à eux-mêmes, à leur entourage et à la société de façon générale.
Ce que vous devez savoir aussi, c'est que nous avons à faire à des idéologues dans tous les domaines qui ne vous reflétent que ce qu'ils veulent et ce qui les arrange. Ainsi, les idéologues religieux travaillent ensemble avec les idéologues politiques pour vous aveugler et croire leurs discours.
Pour vous libérer de l'enfermement des croyances sociales dont les religions captivent la sauvagerie et l'individualisme de l'esprit humain, vous devez avoir le courage de briser les chaînes de la tradition et de la religion.
La déculturation des amazighs, la falsification des faits, l'intolérance et rôle de l'État
Algérie: la politique d'arabisation sauvage
Maroc: la politique d'arabisation sauvage
Le peuple nord-africain dans son ensemble se sent amazigh (berbère) et il est fier de son amazighité comme le révèle cette enquête suite à l'officielisation de la langue amazighe (berbère) en Algérie.
Au plan des attitudes et des représentations, l’officialisation de la langue amazighe est globalement perçue comme une avancée positive pour l‘Algérie.
Dans ce contexte, la langue amazighe est considérée comme une fierté nationale de l’identité algérienne pour la majorité de la population:
possessifs d’appropriation de la langue:
notre langue, la langue de nos ancêtres, la langue de mon pays, langue de mon identité, notre langue d’Algérie, la langue de nos origines et donc est notre langue principale, notre moyen de communication/c’est notre culture et notre civilisation, langue utile, langue à promouvoir, langue de l’identité et de la démocratie, langue d’avenir, langue de gagne-pain, langue très riche, une fierté, une identité, c’est une bonne langue pour nous, langue maternelle de presque tout le monde, l’algérien aura conscience que son identité linguistique et culturelle est bien riche et elle va en apporter un plus. LIRE LA SUITE :
https://drive.google.com/file/d/1LgBcENzU0eJttRE7g7oLlgsBTvERUAY4/view?usp=drive_link
La psychose arabo-islamiste va jusqu'à nommer l'homme cro-magnon mechta Ibéromaurésien des fouilles paléoanthropologie datant de 12 000 ans, en Mechta el-Arbi (Mechta arabe). Alors qu'en Afrique du Nord plus de 95 % de la population actuelle n'est pas arabe.
Le mensonge, la manipulation, l'obscurantisme, l'ignorance et l'impérialisme idéologique arabo-islamiste seront vaincus, c'est une question de temps.
Vous, en tant que citoyen simple, ne lisez pas la presse arabe mensongère et manipulatrice et ne lisez pas des livres écrits en arabe et brûler tout ce que vous avez d'écrits en arabe.
N'inscrivez pas vos enfants dans des écoles où les cours sont donnés en arabe. Apprenez à vos enfants leur langue mère Tamazight.
Boycottez les produits arabes, turcs ou en lien ou fabriqués dans ces pays.
Si vous êtes croyants lisez uniquement le coran traduit de l'arabe à une autre langue. Ne lisez rien d'autres par ce que c'est de la manipulation idéologique arabo-islamiste et n'allez surtout pas dans les mosquées qui sont devenues des lieux d'endoctrinement idéologique arabo-islamiste.
Quant à la misère noire africaine qu'ils importent, boycottez les produits des entreprises qui les engagent en Afrique du Nord ou ailleurs et n'ayez aucune pitié pour eux.
Pour ceux qui connaissent bien l'histoire de l'Afrique du Nord, il y a eu des changements tout les -+ 100 ans.
Il n'y a pas eu de changement, depuis l'indépendance vers 1960 qui est juste une date de référence par ce qu'il n'y a jamais eu d'indépendance, les colonialistes ont continué leur politique néocoloniale via l'arabo-islamisme qu'ils on bien préparé pendant la colonisation en arabisant les noms des lieux et une partie de la population.
L'heure du changement est arrivée et dites-vous qu'il n'y aura pas d'avenir pour vous et votre enfant avec des dictatures arabo-islamistes, avec un réseau mafieux autour.
Réveillez-vous pour changer les choses avec la désobéissance civile et voire même la lutte violente par ce qu'il n'y a pas de lutte politique sans lutte armée.
La violence est légitime si c'est pour défendre un peuple ou une communauté, depuis l'apparition de l'homme.
Il est temps que les nord-ouest-africains passent à la vitesse supérieure et optent pour la lutte armée en coordination avec d’autres peuples pris en otage dans ce qu’on appelle le monde arabe qui n'a jamais existé dans l'histoire.
Le peuple nord-africain, c'est un seul peuple de l'ouest-égyptien à l'océan Atlantique et de la mer méditerranéenne au Fleuve Niger, prouvé par la génétique, l'histoire, la culture comme de nombreux peuples sur cette terre.
Notre objectif, c'est de créer les Etats-Unis d'Afrique du Nord avec des Etats autonomes dans une même fédération. Pour certains, ce sont des rêves, mais il n'y a pas de réalisations sans les rêves. C'est la seule manière de gérer cette région et de mettre fin à la mafia, les dictatures et le fanatisme arabo-islamiste.
Aperçu
Ils appellent peuple arabe, alors que la définition du peuple est : ensemble d'êtres humains formant une communauté structurée, d'origine commune. Les études génétiques en Afrique du nord-ouest montrent que le génome arabe est de moins de 5 % au sein de la population.
Ils appellent nation arabe (monde arabe), alors que la définition d’une nation est ensemble de personnes vivant sur un territoire commun, conscients de son unité (historique, culturelle, etc.) et constituant une entité politique.
Il n'y a pas de culture arabe en Afrique du Nord, les nord-ouest-africains sont de culture berbéro-méditerranéenne pour 80 % et 20 % de culture berbéro-saharienne.
Quiconque a côtoyé la diaspora nord-africaine en Europe et la diaspora moyen-orientale, a remarqué qu'il y a une grande différence culturelle entre ces deux diasporas.
Ce qu'on appelle le monde arabe est encore trop souvent perçu, en Occident, comme un bloc homogène et figé. Les clichés sont fortement ancrés dans les imaginaires collectifs.
On assimile arabe et musulman et l'on ignore trop la diversité des peuples répartis du Maroc à l'Irak et de la Mauritanie au sultanat d'Oman.
Le monde arabe existe-t-il vraiment ?
Au-delà des clichés, différences et similarités entre les pays arabes:
https://drive.google.com/file/d/1siM0TRa9XDzHSFEGyO_CayfXhdDNqDdV/view?usp=sharing

Le projet génographique est une vaste étude d’anthropologie génétique lancée dans le but de cartographier les migrations humaines, en réalisant l’analyse de l’ADN d’échantillons prélevés sur plus de 950 000 participants à travers 140 pays dans tous les continents. Des chercheurs sur le terrain ont ainsi collecté des échantillons d’ADN de populations indigènes mais le projet permet aussi au grand public d’y participer.
Le processus est anonyme et permettra par l’analyse des marqueurs génétiques de l’ADN de retracer l’ascendance lointaine des personnes testées.
Les peuples d’Afrique du Nord, traditionnellement compris dans cet espace, commencent de plus à en plus à devenir conscients de leur origine non arabe.
Lancé en 2005, le projet, toujours en cours, met à contribution des techniques scientifiques pointues et, grâce à l’analyse de l’ADN des participants, permet de répondre aux questionnements parfois existentiels de ceux qui s’intéressent à leur appartenance et origine ethnique.
Les Tunisiens ne sont qu’à 4 % d’origine arabe, les algériens et les
marocains à 2 %.
Les nord-ouest-africains affichent une origine à 70 % berbéro-méditerranéenne, mais aussi à 6% d’Europe du Nord, à 15% berbéro-saharienne, mais à seulement 6 % Asie du sud-ouest et 2% provenant d’Asie du sud-est. >
Découvrez les origines ethniques les plus courantes dans chaque pays et les pays les plus représentés pour chaque ethnie :
https://www.myheritage.fr/ethnicities/africa/continent-country-list

La société nord-africaine peut être décrite ethniquement comme berbéro-atlantico-méditranéenne sur les côtes méditerranéennes et atlantiques et au sud berbéro-saharienne.
L'écrivain et chercheur syrien Nidal Naïssa a déclaré, l'arabisme est devenu une malédiction pour les peuples de la région et que la soi-disant nation arabe est un mythe qui n'a jamais été vrai, et que l'arabisme était à la tête de certains politiciens mercenaires.
Il a ajouté que la plupart des pays arabes d'aujourd'hui ne sont pas d'origine arabe et que seuls ceux qui habitent la péninsule arabique sont des Arabes. Quant au reste des pays, leurs origines remontent à des endroits différents, et les soi-disant Arabes ont détruit l'Irak, la Syrie et la Libye.
Il a poursuivi qu'aucune civilisation n'a été établie dans la péninsule arabique et que toutes les civilisations dont ils ont parlées, ont été importées:
https://ripostelaique.com/la-malediction-de-lislam-vue-par-un-journaliste-syrien.html
Rien qu'au proche-orient des dizaines d'ethnies y vivent: Arabes, Kurdes, Turkmènes, Arméniens, Persans, Assyriens, Tcherkesses, etc.
Civilisations et cultures antiques :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisations_et_cultures_antiques
Les cartes des restes des civilisations anciennes des fouilles archéologiques montrent qu'il n'y a jamais eu de civilisation en Arabie.
L'Arabie, le Sahara et les steppes des turco-mongols, jusqu'à 200 ans avant J.C., étaient classées hors civilisation du néolithique, juste après chasseur-cueilleurs.
Alors que la civilisation en Afrique du Nord vers 500, avant J.C., avec la civilisation berbéro-punique égalait avec la civilisation hellénique.
Ne soyez pas dupe, nous avons à faire une invasion idéologique barbare arabo-turco-mongole qui prône la haine, le fanatisme et l'obscurantisme, tout en instrumentalisant la religion.
Les bédouins d’Arabie des débuts de la conquête musulmane avaient des poètes mais pas de savants.
Il y a eu un « miracle arabe » au Moyen Âge, celui des savants et des penseurs qui ont choisi de rédiger leurs travaux en langue arabe, alors qu’ils étaient persans, berbères, andalous, juifs, etc.
Ils ont exploré tous les domaines du savoir : astronomie, mathématiques, physique, chimie, médecine, philosophie, géographie, architecture, botanique, histoire, etc..
Les arabo-islamistes parlent de savants Arabes, au lieu de parler de savants d'expression arabe, afin de faire la confusion et de nourrir leur impérialisme arabo-islamiste par des populations fragiles et ignorantes.
L'Afrique du Nord fait partie des premiers peuples à avoir son alphabet tandis que l'Arabie était encore à la traîne.


Histoire de l’écriture libyco-berbère - Irma Mora
L’épigraphie du libyco-berbère fournit des données pertinentes sur les populations anciennes de l’Afrique du Nord, qui ne peuvent pas toujours être trouvées dans d’autres sources et disciplines auxiliaires de l’histoire. À partir de l’analyse de 1500 inscriptions, réparties entre la Libye et les Îles Canaries, il est possible de reconstruire la généalogie de cette écriture, en replaçant ses alphabets dans leurs différents contextes spatiaux et temporels. Dans cette conférence, nous nous pencherons sur la gestation, la popularisation et la diffusion de l’écriture libyco-berbère en Afrique du Nord, au Sahara central et aux Îles Canaries.
Le doyen de l'Institut royal de la culture amazighe au Maroc :
nous travaillons sur un sujet épineux et important qu'est la langue, notre vision est qu'il nous faut une langue écrite standard utilisée à l'école et dans la recherche, et un jour ce sera la langue de communication et de travail dans les départements.
Nos équipes travaillent également à la traduction des mères de la littérature mondiale vers la langue amazighe, des livres importants ont donc été traduits de l'arabe, du français, de l'anglais, de l'espagnol et du persan, et l'importance de ces traductions est qu'elles enrichissent la langue amazighe, il est appelée "traduction lyrique".
Un autre domaine sur lequel nous travaillons est lié à la technologie moderne, l'utilisation de la technologie moderne dans le domaine de la typification de la lettre Tifinagh (Alphabet libyque).
Il y a des tentatives de coordination et de relations interpersonnelles, d'échanges de visites et d'expériences et de participation à des réunions scientifiques, et nous avons des accords avec des universités algériennes telles que l'Université de Tizi Ouzou, l'Université de Bejaia, Batna et d'Alger.
Ahmed BOUKOUSS Le Recteur de l'IRCAM "La graphie Tifinaghe et la vision du Monde": https://youtu.be/yRJFP4i8ZRQ
Nous aspirons à généraliser l'enseignement du tamazight au niveau de l'enseignement primaire et passer au secondaire puis élargir les études amazighes à toutes les universités marocaines.
Une petite apprend
le berbère
Histoire de l'Afrique du nord-ouest depuis les royaumes numides et maures jusqu'à la chute de l'empire al-Mohad
HISTOIRE DE LAFRIQUE DU
NORD DES ORIGINES A NOS JOURS
(cartographie complete)
L'histoire marocaine de manière scientifique et fluide.
Histoire d'Afrique du Nord revisitée
L'histoire de l'Afrique du Nord, racontée par les historiens les plus chevronnés, comme Bernard LUGAN, Stephane GSELL et aussi Gabriel Camps, sans oublier le père de la sociologie IBN Khaldoun, qui se sont basés sur des données anthropologiques, paléoanthropologiques, archéologiques, linguistiques, ethnologiques et autres données scientifiques, pour l'expliquer.
Il est intéressant aussi de connaître les peuples anciens nord-africains racontés par Pline et par Hérodote.

Université Libre de Bruxelles Frédéric Colin (Thèse): Les Libyens en Egypte, Onomastique et Histoire:
https://drive.google.com/file/d/1KXxQzChqDaLlrClwDkK23w8kmbAdUPQn/view?usp=sharing

Les peuples anciens du Sahara qui sont principalement de race hamitique, ont été refoulés vers le sud, d'abord avec les agriculteurs du néolithique et les éleveurs de bétail néolithiques R1b (V88), il y a 9 000 ans. Puis par les vagues migratoires qui avaient commencé à arriver en Libye avec les peuples de la mer, il y a 3 400 ans et dont descendent les dynasties pharaoniques berbères égyptiennes:
https://fr.wikipedia.org/wiki/XXIIe_dynastie_égyptienne.
À l'ouest de l'Afrique du Nord, des sites néolithiques montrant l'apparition d'une sédentarisation et la naissance de l'agriculture sont découverts près de Skhirat (Nécropole de Rouazi-Skhirat) et de Tétouan (grottes de Kaf Taht el Ghar et de Ghar Kahal), les populations européennes du néolithique sont arrivées
depuis 8 000 ans au nord du Maroc et l'Ouest algérien
par le détroit de Gibralter et en Tunisie par l'Italie.
Expansion de la civilisation agraire du néolithique
Invasions indo-européennes
Ces populations du néolithique sont arrivées massivement en Afrique du nord-ouest depuis 4 500 ans, elles fuyaient les invasions indo-européennes de l'Europe:
https://www.youtube.com/embed/eo5IysONVhI?autoplay=1
Les génomes humains anciens suggèrent trois populations ancestrales pour les Européens d'aujourd'hui:
https://www.nature.com/articles/nature13673
Les données de la linguistique et de la génétique de l'Europe

Les haplogroupes de la population du néolithique Européenne
Présentation de l'ADN mitochondrial et des profils du chromosome Y dans le paysage nord-africain, ces études prouvent que la génétique de tous les nord-ouest-africains y compris les Touaregs, est eurasienne à +- 90 % et noire africaine à +- 10 % : https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0056775#references
Des séquences d'ADNmt eurasien (maternel) ont été détectées à des fréquences de 96% chez les Berbères marocains, 82% chez les Berbères algériens et 78% chez les Marocains non berbères, contre seulement 4% dans une population sénégalaise:
https://en.wikipedia.org/wiki/Genetic_studies_on_Moroccans#Moroccan_Mitochondrial_mtDNA .
Presque tous ces haplogroupes du néolithique européen se trouvent en Afrique du Nord. Ces études montrent aussi que la composante génétique noire africaine est récente en Afrique du nord-ouest.
La majorité des ancêtres maternels des Berbères devaient venir d'Europe et du Proche-Orient depuis le Néolithique.
Les Mauritaniens et les Sahariens occidentaux, en revanche, ont une affinité d'ADNmt substantielle mais non dominante avec les Subsahariens:
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1046/j.1469-1809.1998.6260531.x
Cette composante génétique noire africaine est arrivée aussi en Afrique du nord-ouest, depuis les invasions ottomanes qui ont affaibli ou éliminé les dynasties berbères, ce qui a permis à des dynasties sahariennes arabo-sanhajienne de la Mauritanie comme les Saadiens, de surgir avec des armées composées d'esclaves noirs-africains, suivi de l'installation des familles de ces eslaves en Afrique du nord-ouest.
La dynastie alaouite a aussi utilisé les esclaves noirs-africains pour faire face aux puissances européennes qui occupaient les côtes méditerranéennes et atlantiques marocaines et pour faire face aussi aux ottomans à l'Est.
La dynastie alaouite n'est que le reste de la dynastie zianide qui a perdu le pouvoir au nord-ouest d'Algérie et l'Oriental marocain en 1554 face aux barbares ottomans.
Les membres de cette puissante dynastie zianide ont continué à exercer un pouvoir local au Sahara et le contôle du commerce et des richesses sahariennes ainsi que le commerce transsaharien jusqu'au 1880 avec l'arrivée des Français.
La génétique démontre aussi que la composante génétique noire africaine vient
2 fois plus des femmes, ce qui laisse penser que les hommes noirs-africains sont morts dans les combats.
Il est à souligner aussi que la dynastie Alaouite est devenue une dynastie coloniale, à partir de 1859 à la mort du roi Abderrahmane ben Hicham, un anti-colonialiste par excellence. Cette dynastie ne pouvait survivre qu'en se jettant dans les bras des colonialistes Français, tout en leur cédant le Sahara algérien en 1880, qu'elle contrôlait depuis 1640 avant même de conquérir le Maroc.
Cette date de 1859 est la fin de la puissance marocaine et la perte des territoires au nord et au sud face aux Espagnoles.
Les régions autonomes qui avaient été édifiées par le célèbre sultan alaouite Moulay Ismaël avec leur propre armée autonome au sein d'une armée nationale, ont été démantelées à partir de 1859 comme il a été le cas avec l'armée rifaine qui contrôlait le Nord marocain. Cette date marque le début de la division du peuple marocain avec des luttes intestines alimentées par l'Etat français colonialiste.
La France coloniale a largement participé à l’idée que l’Hespérie (Maghreb) serait entièrement arabe, à partir de 1859, pour diviser le peuple nord-africain essentiellement berbère à plus de 90 %.
L'Etat français colonialiste a ainsi divisé le peuple nord-africain avec une centralisation du pouvoir aux mains d'une élite baptisée arabe qui n'a d'arabe que le nom. Cette élite est plus tôt une mafia qui a développé une corruption à grande échelle sans précédent en Afrique du Nord. Le peuple nord-africain est un peuple égalitaire depuis la révolte kharridjite des zénètes en 740 jusqu'aux invasions barbares ottomanes.
Le peuple nord-africain en majorité écrasante berbère doit retenir deux dates désastreuses de son histoire, 1554 marquait les chutes des dynasties berbères face aux barbares ottomans et 1859 marquait la chute définitive face aux colonialistes Français qui ont démarré l’arabisation sauvage des noms des lieux et des tribus, ainsi (aït) en berrbère devenait (bani) en arabe. Même qu’auparavant, il y avait une arabisation avec le culte musulman surtout depuis les ottomans, mais l’arabisation la plus sauvage en changeant les noms des lieux a vu le jour avec la colonisation française et les bureaux arabes (une administration sous-jacente arabe) qu'elle a mis en place.
Description des berbères (libyens) par Hérodote, le premier historien et anthropologue de l'histoire: https://drive.google.com/file/d/1VE_uEj7mc0-UK5kXmwAScomrq2h066uA/view?usp=sharing
Aujourd'hui, les nord-ouest-africains, qu'ils forment une seule race et un seul peuple berbère. La génétique, la paléoanthropologie, l'anthropologie et les historiens, le prouvent.
Il faut prendre avec prudence ce que dit IBN Khaldoun. À son époque, la sociologie était à ses débuts. En plus, il a agi sous la contrainte des pouvoirs politiques des dynasties berbères qui étaient en lutte entre elles.
Pour comprendre l'histoire, il faut la comparer avec ce que dit l'anthropologie, la paléoanthropologie, l'archéologie, l'ADN, la linguistique, la géographie, la géologie, les conflits historiques, le climat et ses changements.
Toutes les races dont IBN Khaldoun parle, c’est de n’importe quoi ou c'est sa façon d'interpréter certaines coutumes qui sont propre à certains tribus isolées. Il n’y a qu’une seule race en Afrique du Nord, c’est la race méditerranéenne qui se trouve sur les deux rives de la méditerranée occidentale.
L'évolution depuis le néolithique de cette race méditerranéenne dans les mêmes mode vie, culture et civilisation, a donné naissance à l'empire romain latin avec sa brillante civilisation et sa prospérité, avant de décliner face aux invasions barbares causées par les turco-mongols.
Puis, face à la religion islamique arabe de race bédouine qui est incompatible avec ce qui a été construit depuis des milliers d'années dans cette région.
Les gétules pré-sahariens de race hamitique semi-nomade ont été assimilés par les néoberbères zénètes (populations issues des peuples de la mer, arrivées en Afrique par vagues successives depuis 3 500 ans et dont sont issues les dynasties pharaoniques berbères), dès les premiers royaumes berbères qui ont suivi les invasions indo-européennes: le royaume des Massyles , voisin du royaume des Massæsyles, le royaume de La Maurétanie tingitane et à l'ouest Carthage.
Cette assimilation des gétules s’est accélérée avec l’empire romain pour travailler dans les champs, le révolté Tacfarinas en est la preuve. À la fin de l’empire romain, sa faillite a poussé une partie des zénètes à passer de la sédentarité au semi-nomadisme avec une colonisation pastorale des territoires Gétules, ce qui a achevé leur assimilation.
Les Gétules se sont fondus dans cette race méditerranéenne et ils n’existent plus en Afrique du Nord, à part dans quelques oasis isolés dans le Sahara où ils ont été zénétisé culturellement.
https://www.dailymotion.com/embed/video/x10buzd?autoplay=1
Les Senhajas sont aussi un cocktail de zénètes et de Gétules sauf que leur proximité au sud de la Mauritanie et au nord du Sénégal au milieu des hamites et pas loin des noirs-africains leur langue zénète s'est altérée.
Quant aux Gétules nomades hordes plus au sud du Sahara, la sécheresse les a poussés vers l’Afrique de l’Ouest et du centre dont descendent les Peuls et de nombreuse ethnies noires-africaines et dont parle Bernard LUGAN.
Les Éthiopiens du Sahara (qui n'ont rien à voir l' Ethiopie d'aujourd'hui) de race Pygmoïde négroïde, ils ont été éliminés par les Gétules, il ne reste que quelques résidus au sein de la population nord-africaine. Les Gétules mangeaient ces Éthiopiens, ils les considéraient comme des singes, donc mangeables.
Hérodote raconte que ces Éthiopiens ne ressemblaient à aucun être humain et que les Berbères les appelaient
les hommes sauvages dont quelques poches vivaient encore dans les forêts de l'Atlas: https://drive.google.com/file/d/1VE_uEj7mc0-UK5kXmwAScomrq2h066uA/view?usp=sharing .
Les tribus berbères dont IBN Khaldoun parle ne sont que des particularités d’adaptation des Berbères aux environnements où ils se trouvent, saharien, montagnard, côtier, etc.
À partir de la conquête musulmane,
il y a eu une migration sud-ouest vers le nord des Sanhajas pas très importante, mais, il y a eu surtout une sanhajisation de certaines tribus du nord par la mouvance religieuse des sanhajas, pour des raisons d'intérêts de l'or et des esclaves qui provenaient de l'Afrique noire, ce qui a provoqué la division des berbères.
Mathématiquement les sanhajas représentent moins de 10 % de la population nord-africaine qui est de +- 110 millions d'habitants. D'après IBN KHALDOUN, les Sanhajas sont une confédération de tribus sur 11 confédérations qui peuplent l'Afrique du Nord.
Grigori Lazarev, anthropologue et expert international : Contribution à la géographie médiévale des populations berbères Sanhajas du Haut Atlas marocain:
https://drive.google.com/file/d/1roH8OF_iYO_UZYe_3vgEgc8k8yr7_fCA/view
Grigori Lazarev, LES ṢANHĀJA DU MAGHREB CENTRAL AU X°-XI° SIECLE :
Il est cependant difficile d’en déduire une histoire de Sanhaja venus de l’est et qui auraient été à l’origine des pays sanhajiens sédentaires de la période médiévale.
On constate, lorsque l’on examine les populations autochtones des Tell de l’ouest, dont on retrouve aussi les noms dans les populations de première nation des Ṣanhāja, se caractérisaient par des langues appartenant à un sous-groupe du grand ensemble des langues zanatas (zénètes). Ces Sanhâjas auraient pu y arriver comme le firent les Zénètes, mais en provenance du sud-ouest: https://drive.google.com/file/d/1QFJn8oholoONCIpOACIKmgMaoGvjODIz/view?usp=sharing
Ces affirmations de Grigori LAZAREV, se confirment par l'ADN, les Senhajas sont génétiquement des Berbères comme les autres sauf qu'ils ont une composante génétique noire-africaine plus importante de +- 20 % à cause de leur proximité avec l'Afrique noire en Mauritanie, alors que chez les Berbères du Nord, cette composante noire-africaine est de 0 % ou de +- 4 %.
Les senhajas de la Mauritanie ont aussi 0 % ou presque de l'haplogroupe sémite J1, alors que les régions appelées senhajiennes en Algérie, dans les montagnes aux alentours d'Alger, l'Haplogroupe J1 atteint 35 %:
https://www.phylogeographer.com/scripts/heatmap.php?newlookup=J1
Une preuve de plus qu'il y a eu bien de la sanhajisation en Algérie en plus de l'arabisation, mais pas de population sanhajienne, ni arabe.
Ces populations qui se disent des sanhajas, sont cananéens sémites et ne sont pas des sanhajas, une petite minorité de sanhajas peut-être, vit parmi eux. Les vrais sanhajas de la Mauritanie n'ont presque pas de génome sémite.
La forte concentration du génome sémite J1 dans la région montagneuse du centre-nord d'Algérie, vient principalement du Cananéens, des Juifs et des Phéniciens, mais aussi de la population du néolithique.
Après la destruction du Carthage par les Romains, ces populations se sont réfugiées dans ces montagnes et prises en tenailles par les Romains à l'Est et les Maures alliés des Romains à l'Ouest.
Ibn Khaldun a bien décrit le groupe berbère issu de ces cananéens. Saint Augustin en parle aussi que le nord-Est algérien était peuplé par des paysans cananéens.
Les Algériens sont en majorité des zénètes, un cocktail de la race Adarante (de culture céramique cardiale) et d'indo-européens.
Ces cananéens sont à la source de tous les problèmes de l'Afrique du Nord, d'abord avec la piraterie qu'ils ont développée depuis la conquête musulmane.
On voit mal des nomades de senhajas sénégalo-mauritaniens, non seulement maîtriser la mer, mais pratiquer de la piraterie qui demande des connaissances d'experts en mer.
Ils ont fait venir les Turcs ottomans qui ont ravagé l'Afrique du Nord, et aujourd'hui, ils sont les vecteurs de l'arabo-islamisme : https://www.youtube.com/embed/09DNfwcmf8A?autoplay=1.
Vers l'an 1 000, les Zirides issus de ces cananéens ont trahi les Berbères Ketemas qui leur ont laissé le pouvoir, après la conquête de l'Egypte. Ces zirides ont commis un génocide contre les Zénètes de Tlemcen.
Le mot mazice ou mazigh (amazigh) n'est qu'un titre de noblesse comme il a été le cas en Iran avec arya (aryens), les celtes etc., des héros, que s'attribuent les tribus, à l'époque.
À la base, il y avait deux principaux peuples qui se sont fusionnés progressivement depuis 3 500 ans qu'on appelle les paléoberbères +- 25 % (les Berbères issus des Capsiens) et
les néoberbères +- 75 % ( les Libyens (Botrs de langue zénète) de l'antiquité issus au sens large des peuples de la mer, une fusion d'indo-européens et de la race Adarante (de culture céramique cardiale) des peuples préceltiques du néolithique européen de la méditerranée occidentale avec les haplogroupes: E-M81, G, J2, R1b, R1a, J1, et
des Balkans (E-M78)) , avant le brassage inter ces 2 groupes principaux par des migrations Est-ouest, depuis les Phéniciens et Ouest-Est.
Soutien militaire des Botrs (Zénètes) aux phéniciens, en 700 avant J.C:
https://youtu.be/qMv9Gyc08P8?t=274, avant de prendre le gouvernail avec la civilisation punique et déclencher un big bang civilisationnelle dans toute la méditerranée occidentale.
Ce soutien militaire des zénètes coïncide avec la chute de la XXIIIe dynastie pharaonique des Berbères issus des peuples de la mer, face à la XXVe dynastie pharaonique d'origine nubienne.
Ce qui laisse penser que les Berbères zénètes ont été chassés d'Egypte vers l'Est en Libye antique (Afrique du Nord).
Depuis les Romains, d'autres peuples sont venu se fondre dans ce fond berbère qui se forme depuis le néolithique et la paléobebérité ibéromaurésiennene ne représente que 1 à 2 % du patrimoine génétique des nord-ouest-africains qui vient principalement du Sahara.
Il y a eu une migration Est-Ouest massive des zénètes (Botrs) depuis le règne de l'empereur zénète romain Septième sévère en l'an 200, avec son projet de sédentarisation et d'arboriculture en Afrique du Nord.
Auteurs romains: ces tribus Botrs (zénètes) fournissaient en main d’ œuvre agricole les régions de Libye et de Tunisie mises en culture par les Romains. Ces néoberbères zénètes montraient un sens aigu de l’innovation, inventant ou améliorant divers procédés techniques importants.
Dans la vallée du Mzab, en implantant des centaines de milliers de palmiers, ils ont transformé le Sahara en un véritable paradis, vidéo :
https://www.youtube.com/embed/OL1Zuosttp8?autoplay=1
Quant à Gabriel Camps, c’est déjà un peu scientifique qu'IBN Khaldoun, il se base sur l’anthropologie, mais il a agi aussi sous la contrainte de la politique coloniale française dans son projet d’arabisation des Berbères pour les affaiblir. Il a pris en compte aussi les fanatismes idéologique et religieux implantés par les barbares ottomans au sein d’une partie de la population.
Les zénètes prennent ainsi la place des gétules d’après G. Camps. Les nombreux travaux de G. Camps réaffirment ainsi plusieurs fois la thèse d’un lent glissement des tribus libyennes, dans un sens est-ouest, à partir du IV siècle.
Ce savant y voit la suite des mouvements protohistoriques qu’il a contribué à mettre en valeur : « tout se passe comme si au cours des siècles ces grandes tribus avaient lentement progressé de la Cyrénaïque vers l’afrique du nord centrale.
Ces populations sont, pour G. Camps, radicalement différenciés des autres Berbères :
« ces Zénètes ne sont pas les descendants des Numides et des Maures ; ils prennent la place des Gétules... Ce sont des Néoberbères ». Ils auraient atteint durant l’antiquité la Tingitaine depuis la Tripolitaine.
Le premier mouvement d'émigration partit de l'est ; le second s'établit en Afrique du nord-ouest par une expansion de l'ouest à l'est.
La troisième accession de peuples étrangers arriva par le nord.
D'autres races vinrent s'implanter, non plus comme éléments d'une fusion nouvelle, mais comme colonies conservant une nationalité séparée.
Ce furent, d'une part, les Phéniciens de Tyr et de Sidon, qui fondèrent à l'ouest de la grande Syrte des comptoirs commerciaux, dont le plus considérable fut Carthage ; de l'autre part, ce furent les Grecs de Théra, qui s'établirent à l'est de la Syrte, et dont Cyrène devint la métropole principale.
Les populations commencent à se classer ; les divisions territoriales deviennent distinctes ; l'histoire sort de la confusion et des ténèbres.
Hérodote parle des Troyens qui se nomment Maxyes ou Mazices (mazigh/amazigh) installés en Tunisie, probablement les proto-Zénètes (Botrs).
Il parle aussi des garamantes, qui pourchassaient les Ethiopiens du Sahara (de race pygmoïde négroïde) que le célèbre antropoloque G. Sergi dans son ouvrage la race méditerranéenne, une référence mondiale pour l'anthropologie, en parle aussi.
J. Bérard note qu'« une tradition déjà connue de Pindare au Ve siècle avant l'ère chrétienne voulait que les Doriens qui vinrent au VIIe siècle coloniser la Cyrénaïque eussent été accueillis à Cyrène par des Anténorides, descendants de Troyens partis d'Ilion lors du saccage de la ville et ils sont venus sur la côte libyenne en compagnie d'Hélène.
Diaspora troyenne: https://www.persee.fr/doc/reg_0035-2039_1944_num_57_269_3017
Un autre élément nous lie à la Lydie (ouest de l'actuelle Turquie), c'est Goliath des récits Bibliques. Goliath veut dire roi en berbère. Les étrusques en Italie ont des origines lydiennes. Goliath était un géant qui a combattu les Hébreux.
Ces Lydiens faisaient partie aussi de la coalition des peuples de la mer.
L'écriture des Lydiens ressemble aussi à l'alphabet bebère libyque et phénicien.
Le prénom Lydia était très courant chez les Berbères avant l'islamisation.
Des chercheurs russes ont démontré des similitudes funéraires d'anciens peuples d'Afrique du Nord et du Caucase - Eura-Asie:
https://drive.google.com/file/d/12EQwakl5Xha3Q5uQ8BPjkqufzBsEQJ7d/view?usp=sharing.
L’élaboration par l’UNESCO des huit volumes de l’Histoire générale de l’Afrique a mobilisé plus de 230 historiens et autres spécialistes pendant plus de 35 années dont une partie importante de cet ouvrage sur l’Afrique du Nord :
Préhistoire de l’Afrique du nord-ouest - Les proto-berbères - La période carthaginoise, romaine, post-romaine et le Sahara - La comquête musulmane de l'Afrique du Nord et la résistance berbère - L’avènement de l’Islam et l’essor de l’Empire musulman - Le rôle des sahariens dans les relations nord-sud, l'avènement des fatimides - Les Almoravides - l’unification du Maghreb sous les Almohades - Le Maroc, Algérie, Tunisie, les Ottomans et leurs héritiers -
Résistances anti-coloniales en Afrique du nord-ouest et au Sahara - La domination européenne, méthodes et institutions - L'éonomie coloniale en Afrique du Nord, les répercussions sociales de la domination coloniale - La politique et le nationalisme au Maghreb et au Sahara 1919-1935 - Le Maroc du XIXe siècle à 1880 - La première guerre mondiale et ses conséquences - La traite des esclaves et l'emergeance d'un ordre économique dans l'Atlantique - L'Egypte dans le monde musulman (XII à XVI) - L'Egypte sous l'empire ottoman - L'Egypte depuis la conquête arabe jusqu'à a fin de l'empire berbère fatimide - La renaissance de l'Egypte (1805-1881) - HISTOIRE GÉNÉRALE DE L'EGYPTE
Aperçu
De nombreux anthropologues, historiens et chercheurs parlent d'une race adarante préceltique de la culture céramique cardiale , en Méditerranée occidentale, Proto-méditerranéenne, Issue des fermiers du néolithique qui ont cohabité sans trop se mélanger avec les chasseurs-cueilleurs du Mésolithique.
Quant on voit les alphabets et les écritures de ces peuples du néolithique européen (ibères, étrusques, phéniciens, berbères), on voit qu'ils ont une origine commune. Et leurs alphabets et écritures n'ont rien à voir avec les alphabets et les écritures des peuples sémites (arabes, araméens, assyriens et hébreux).
Les Origines préhistoriques de l'Ecriture PAR RM. GATTEFOSSÉ:
Il y a eu autrefois une langue universelle. Nous avons trouvé dans la langue Berbère ou Tamachèque une de ces langues primitives, datant incontestablement de la période mégalithique, et son étude est particulièrement attachante.
La survivance du Basque, les inscriptions et les médailles de Marseille, que l'on a essayé de traduire par du Grec primitif, mais qui sont du Numide ou du Celtibérien, montrent que le berbère Tamachèque, langue hyperboréenne et atlante, fut longtemps parlé, dans le Sud de la France, par les tribus dolichocéphales d’origine nordique. LIRE LA SUITE :
https://drive.google.com/file/d/1MWjAl7BYZrZjG_l8I8kYz2auzb54l2bU/view?usp=sharing

Ahmed BOUKOUSS Le Recteur de l'IRCAM "La graphie Tifinaghe et la vision du Monde"

D’après cette grande étude réalisée sur l'ADN ancien de la région de la péninsule ibérique, il y a eu un remplacement de la patrilinéarité génétique à 100 % de l’ADN des Espagnoles par l’haplourgoupe R1b indo-européen qui se transmet de père à fils. Par contre l’ADN mitochondrial qui se transmet par la mère est resté à 60 % d’origine des autochtones ibères.
Comme la langue se transmet de mère à l'enfant, la langue des autochtones ibères a survécu comme le Basque, etc. L'haplogroupe masculin Y a été remplacé en Espagne à 71 % et pas à 100 % comme il est dit dans cette étude, par ce que les haplogroupes I, G, J1, J2 et E, sont d'origine néolithique. En plus, la branche africaine R1b-v88 existait déjà durant le néolithique en Ibérie, venue d'Afrique du nord-ouest.
Même l'haplogroupe R1b, son indo-européanité est discutable par ce qu'il existait déjà au néolithique en Asie mineure, il a juste joué un effet fondateur sur la race nordique et la race méditerranéenne aux crânes dolichocéphales qui ont migré en partie vers l'Asie, il y a +- 13 000 ans.
La race rouge au crâne brachycéphale est la vraie race indo-européenne avec l'haplogroupe R1a.
La brachycéphalie typiquement indo-européenne est de moins de 30 % en Europe, alors que la dolichocéphalie typiquement de la race méditerranéenne et de la race nordique (issue de la race méditerranéenne), dépasse les 40 %. La mésocéphalie née des deux races, elle est +- 30 %.
En plus, pendant les premiers siècles, les invasions indo-européennes étaient exclusivement masculines et les femmes des autochtones étaient partagées, il n'y avait pas de mariages car les femmes n'étaient pas très nombreuse. Les enfants étaient tous des bâtards. Ces traditions ont continué à se pratiquer en Libye, d'après Hérodote à son époque:
https://drive.google.com/file/d/1VE_uEj7mc0-UK5kXmwAScomrq2h066uA/view?usp=sharing
L'haplogroupe y se transmet uniquement de père à fils.
Ce qui laisse penser que la matrilinéarité génétique indo-européenne des femmes en Europe est beaucoup moindre que la patrilinéarité génétique indo-européenne des hommes.
D'ailleurs, on le voit avec ces nombreux groupes raciaux issus de ce métissage inter autochtones européens et indo-européens. Sinon, il y aurait eu qu'un seul groupe racial en Europe.
La seule race plus au moins pur, c'est la race nordique qui l'exprime par sa taille de minimum 1,80 mètre pour les hommes, son crâne dolichocéphale et sa blondeur. La taille peut s'expliquer que cette race vivait uniquement de la chasse, la viande est riche en vitamine A qui favorise la croissance, en plus de la dureté de la vie nomade dans les forêts en grimpant les arbres. Mais aussi que l'homme cro-magnon en Europe, en Afrique du Nord et au proche-orient était de grande taille.
Il est fort probable aussi que l'homo sapiens est sorti d'Afrique du Nord vu qu'il s'y trouva depuis 315 000 ans, par le détroit du Gibraltar et il a rencontré l'homo néandhertal nord-Ouest européen et que cette race n'a pas été trop affecté par les homos sapiens peu nombreux venus d'Asie de +- 1,55 mètre de taille à cause de leur rencontre avec l'homo Est-Néandertal de +- 1,55 mètre de taille héritée de l'homme de Dénisova comme la brachycéphalie, mais il n'y a pas de preuves paléoanthropologiques pour le moment pour cette hypothèse.
D'autant plus que l'Afrique du Nord et l'Europe étaient collées et dans la grotte Chauvet en Ardèche (France), on découvre une faune nord-africaine. Aperçu
La race méditerranéenne dolichocranéenne dont elle est issue la race nordique aussi dolichocranéenne, a perdu un peu de sa taille à cause de l'assimilation de +- 20 % des chasseurs-cueilleurs (aux crânes brachycéphales de +- 1,55 mètre de taille) arrivés d'Asie centrale par le nord de l'Europe, il y a 45 000 ans et plus tard les indo-européens (aux crânes bachycéphales et de +- la même taille).
Mais aussi, à cause d'une sédentarité et d'une alimentation moins carnivore, donc moins riche en vitamine A qui favorise la croissance.
Et ce sont la race nordique européenne et la race méditerranéenne qui ont envahi l'Asie centrale à la fin de la glaciation, il y a eu juste un come-back to Europe, après.
Et l'haploroupe R1b est issue d’une race hybride entre la race nordique, la race race méditerranéenne et la race indo-européenne de l'haplogroupe R1a.
Répartition de l'indice céphalique en Europe / par J. Deniker | Gallica :
https://drive.google.com/file/d/1YXOwlF6Eg08ijH2gtQ4UgjodaSqsjy2E/view?usp=sharing
Un spécialiste explique le parcours des chasseurs-cueilleurs
L'indo-européanité (aryens) génétique au sein de tous les Européens n'est que de moins 50 %, voire moins de 40 %. Il y a une sur-estimation pour des raisons culturelles, idéologiques et politiques, comme il est le cas, aujourd'hui, avec les Arabes qui sur-estiment leur race.

Ce qui est sûr, c'est que les indo-européens sont parmi les premiers à découvrir le cuivre puis le bronze et surtout à domestiquer le cheval, ceci leur a permis de conquérir le monde caucasien et de répandre leur culture et leur langue.
Le célèbre anthropologue G. Sergi l'explique bien dans son célèbre ouvrage : la race méditerranéenne, qu'il y a eu une indo-européanisation culturelle beaucoup plus importante que génétique.
Hans Friedrich Karl Günther a rejeté l'utilisation de « aryen » et « sémitique » comme termes raciaux, il a soutenu qu'il ne s'agissait que de termes linguistiques.
Il faut faire une différence entre les théories racialistes qui tendent vers le racisme, et l'étude des races qui est un épanouissement dans le savoir des phénomènes de la nature comme tout autre phénomène.

L’Italie est aujourd’hui avec les Balkans, les pays d’Europe de race méditerranéenne à plus de 70 %. Ces pays ont une histoire riche est une identité propre, la fausse Europe veut les exclure. Pourtant, si l’Europe existe, c’est bien grâce à l’arrivée des premiers hommes du groupe génétique E1B1B1 qui vont rayonner en Europe de l’Est et en Ibérie (Europe Occidental).
Les principaux haplogroupes Y qui se transmettent de père à flis qui ont formé cette race méditerranéenne (eurafricaine) depuis le paléolithique : E1b1b, G2a, I1, I2, J1, J2, R1b-V88 .
Les principaux Haplogroupes d'ADNmt qui s'héritent de la mère: H_mtDNA, HV_mtDNA, I_mtDNA, J_mtDNA, K_mtDNA, T_mtDNA, U2_mtDNA, U3_mtDNA, U4_mtDNA, U5_mtDNA, U6_mtDNA, V_mtDNA, X_mtDNA.
En Afrique du Nord, de 20 à 50 % de la population est issue de cette race et le reste de la population est d'origine celtibère, germanique notamment les vandales et les visigoths, sans compter les pirates vikings capturés par les berbères, les pirates ottomans ont capturé aussi plus de 2 millions d'européens qu'ils ont amené en Afrique du nord-ouest.
En Italie 72 % descendent de cette race, les Sardes descendent essentiellement de cette race de fermiers anatoliens arrivés au néolithique, probablement d’Italie centrale. Cette race est présente dans tout le pourtour méditerraéen à des porcentage élévés, mais aussi dans toute l'Europe.
On parle du mésolithique, entre – 25 000 et – 15 000, bien avant l’arrivée des Indo-aryens, faussement qualifié d'Indo-européens pour faire croire à leur légitimité en Europe. Une grande partie de l’Europe était sous les glaces, le peuplement et la civilisation arrive du Sud, et la Méditerranée devient le premier centre civilisé du monde, on retrouve une industrie forte développée, l’agriculture et l'élevage.
Alors, si aujourd’hui l’identité européenne a évolué au point de faire d’un Asiatique ou d’un Aryen du Nord de l’Inde des autochtones, il ne faut jamais oublier qu’ils sont des arrivants tardifs et que l’Européen de souche est bien un Méditerranéen, de type atlanthrope.
Les peuples des Balkans, les Illyriens et les Hellènes sont à l’origine de ce qui fait l’Europe, en matière de pensée et de vivre, malgré toutes les propagandes des Indo-aryens, cette vérité est immuable.
Et l’Empire Romain lui aussi de race méditerranéenne a très largement contribué à cette résistance civilisationnelle aux invasions asiatiques. Ce n’est ni l’Angleterre, ni l’Allemagne, ni la Suède qui ont sauvé l’Europe du péril indo-aryen, mais bien les Romains et les Hellènes qui ont lutté farouchement pour sauvegarder la culture méditerranéenne, il est donc logique que le sud de l’Europe soit le berceau et l’exemple à suivre.
Les généticiens européens préfèrent parler de 30 % ou 35 % pour ne pas choquer l’opinion européenne et satisfaire des décisions politiques qui ne vont pas dans le sens d’une reconnaissance raciale des vrais autochtones de certaines régions d’Europe comme les Balkans, on sait qu’en Grèce, on frôle les 50 % de gène E1b1b depuis au moins 22 000 ans. Cela voudrait dire que les vrais chiffres loin de la censure raciale seraient plus élevés.
En 2015, Poznik et Underhill ont soutenu que l'haplogroupe E aurait surgi en dehors de l'Afrique. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4884158/
Ce modèle de ségrégation géographique au sein du clade CT ne nécessiterait qu'un seul échange d'haplogroupe continental (E vers l'Afrique), au lieu de trois (D, C et F) vers l'Asie. Le moment choisi pour ce retour présumé en Afrique, entre l'émergence de l'haplogroupe E et sa différenciation en Afrique de 58 000 ans, est conforme aux propositions fondées sur des données relatives au chromosome non-Y, de flux génétiques abondants entre l'Afrique et l'Arabie entre 50 et 80 000 ans.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27111036/
Éclats ponctués dans la démographie masculine humaine déduits de 1 244 séquences du chromosome Y dans le monde: https://www.nature.com/articles/ng.3559
De fait, la théorie de la race méditerranéenne de Sergi s’opposait à la « théorie aryenne ou germanique» , alors en vogue, qui suggérait que le peuplement européen – porteur de la civilisation européenne – était d’origine nordique. Pour Sergi, il s’agit bien sûr d’une propagande nordiste aryenne, comme pour l’atlantisme nordique.
Le fait que les peuples méditerranéens étaient responsables de la plus importante des civilisations antiques était un problème pour les promoteurs de la supériorité aryenne.
La race méditerranéenne est caractérisée par une taille soit moyenne, soit grande, avec un crâne de taille modérée, n’importe quelle couleur des cheveux et des yeux, d’un teint du rose au brun foncé — le teint olive étant le plus fréquent, d’un nez aquilin ou droit. Plus connu sous le nom de “nez grec” et “nez romain”.
1.Nez de Nubie, 2. Nez grec, 3. Nez crochu, 4. Nez aquilin, 5. Nez retroussé, 6. Nez droit, 7. Nez romain, 8. Nez tordu.
Les peuples méditerranéens, nord-ouest-africains et nordiques étaient tous issus de cette race méditerranéenne (race eurafricaine). La race méditerranéenne, la plus belle et la plus grande race au monde, était responsable des grandes civilisations de l'Antiquité, celles de l'Égypte, Carthage, celles de la Mésopotamie, de la Perse antique, de l’Égypte antique, de la Grèce et de Rome.
D'après sa théorie, les Germains et les Scandinaves n'étaient pas Aryens mais appartenaient à la variété nordique de la race méditerranéenne. Les Aryens quant à eux étaient d'origine asiatique et appartenaient à la race Eurasiatique :
https://www.youtube.com/embed/9BO952O1H70?autoplay=1.
Cette théorie de Sergi est confirmé par cet autre spécialiste en la matière:
https://www.youtube.com/embed/XSDawSp_Ey0?autoplay=1.
Elle est confirmée aussi par la dolichocéphalie des nordiques et des méditerranéens, qui vient de la race arménoïde hyper-dolichocéphalique qui s'est propagé en en méditerranée avant et pendant le néolithique:
https://www.youtube.com/embed/XSDawSp_Ey0?autoplay=1
« L’homme capsien est un protoméditerranéen bien plus proche par ses caractères physiques des populations berbères actuelles que de son contemporain, l’Homme de Mechta […]. C’est un dolichocéphale et de grande taille » (Gabriel Camps, 1981.).
La mésocéphalie en Europe vient de la rencontre avec les indo-européens aux crânes brachycéphales et en partie avec les chasseurs-cueilleurs primitifs aux crânes brachycéphales et de +- 1,55 mètre de taille.

L'indice est calculé par la formule :
IC = Largeur*100/Longueur
Trois classes d'indice ont été distinguées, avec des valeurs limites pouvant varier en fonction des auteurs. Certains utilisent des valeurs différentes selon que l'individu soit mâle ou femelle. Les valeurs indiquées ci-dessous sont les plus courantes :
70 < IC < 75 : dolichocéphale
75 < IC < 80 : mésocéphale ou mésaticéphale
80 < IC > 85 : brachycéphale


La mésocéphalie de la race hamitique vient de la rencontre avec ce type d'homme Cro-Magnon et les chasseurs-cueilleurs primitifs de +- 1,55 mètre de taille, probablement au proche-orient.
https://www.youtube.com/embed/fap99hNVfv4?autoplay=1
La plus ancienne trace d'Homo sapiens hors d'Afrique : https://www.nature.com/articles/s41586-020-2259-z, L'affirmation est soutenue par une datation au carbone 14 qui donne un âge d'environ 45.000 ans aux restes de cinq fossiles humains retrouvés dans la célèbre grotte de Bacho Kiro en Bulgarie et qui sont accompagnés par des outils en pierre, des milliers d'os d'animaux chassés, des outils en os et également des ornements personnels comme des perles et des pendentifs : https://www.nature.com/articles/s41559-020-1136-3.

Giuseppe Sergi (1841-1936) était l'un des anthropologues et psychologues les plus importants de l'ère du positivisme: trois domaines de sa recherche scientifique: la dégénérescence, l'eugénisme et la race.
Son concept de dégénérescence est défini comme le développement de formes spéciales d'adaptation humaine à l'environnement.
Selon Sergi, la race méditerranéenne qu'il appelait aussi la race eurafricaine, était originaire d'Afrique du Nord. La race méditerranéenne était la plus grande race du monde.
Les quatre grandes branches de la race méditerranéenne étaient les Libyens (Berbères), les Ligures, les Pélasges et les Ibères. Les habitants de l’Égypte antique ont été identifiés par Giuseppe Sergi comme un sous-groupe des Hamites, constituant une variété proche de la race méditerranéenne.
Sergi décrivit l’aire d’extension de la race méditerranéenne depuis les rives sud de la Méditerranée et le Sahara jusqu’à la Grande-Bretagne, et à l'Est jusqu'au Pakistan.
La race méditerranéenne (Eurafricaine) qui constitue une souche distincte en elle-même avec ses propres caractères très marqués, à ne pas confondre avec ceux de toute autre souche européenne ou asiatique; c'est morphologiquement la plus belle race brune qui est apparue en Europe, ne dérive ni des noirs ni des blancs, mais constitue une souche autonome dans la famille humaine.
Nous avons la preuve évidente que les Pélasges étaient une branche de la famille méditerranéenne dans l'étude et la comparaison des crânes anciens et modernes en Grèce et ses îles, ainsi qu'en Italie.
Les invasions asiatiques, quelle qu'en soit la direction, ont produit un mélange de race, mais aucune altération de type dans les anciens habitants.

TABLE DES MATIÈRES
CHAPITRE I.
Les phases de l'indo-germanisme - La première phase - La nouvelle phase - Le germanisme - La preuve homérique alléguée - Celtes ou Lituaniens? - L’origine asiatique occidentale.
CHAPITRE II.
Les peuples de la Méditerranée - Les problèmes - Le bassin méditerranéen - Les noms raciaux de la famille méditerranéenne - Méthode de l'Enquête.
CHAPITRE III.

https://drive.google.com/drive/folders/1X1VFiM6_aoVZPNENWXSJX5jN2OCA-01c?usp=sharing



Les données anthropologiques sur les Guanches (berbères des Iles Canaries), référence scientifique mondiale pour les études des berbèress, bien détaillé par l'anthropologue et psychologue Giuseppe Sergi dans son livre:
LA RACE MÉDITERRANÉENNE
.

HISTOIRE DE LA CONQUÊTE DES CANARIES :
https://drive.google.com/file/d/13jNwca6-IdvaSI3KEYBEesPxxLhweuS8/view?usp=sharing
Ci-dessous, les Guanches berbères des Iles Canaries lors de la conquête de l'Espagne de ces Iles.
Ils sont de type nord-africain du littoral méditerranéen, ce qui laisse penser que toutes les plaines des côtes atlantiques marocaines très favorables à l'agriculture étaient conquises par les fermiers anatoliens (experts en agriculture à l'époque) au moins depuis 3 000 ans par ce que la datation des Berbères Guanches dans les Iles canaries remonte à 2 500 ans, et même ces Guanches pratiquaient l'agriculture, d'après les historiens. Analyse génomique des anciens Guanches des îles Canaries:
https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(17)31257-5
Les anciens Guanches se situent vers la droite de la figure ci-dessous. Leurs génomes se rapprochent beaucoup des populations Berbères comme les Mozabites ou Sahraouis.
Les Guanches possèdent également une composante des premiers fermiers Anatoliens et Européens (en noir). Cette composante se retrouve également dans les populations actuelles du Proche-Orient et d'Afrique du Nord. Enfin les cinq génomes montrent que les Guanches étaient intolérants au lactose, avaient les yeux marrons, les cheveux bruns et la peau claire ou moyennement foncée.
Les résultats sont optimaux pour K=10. Une composante spécifique Nord Ouest Africaine apparait en vert clair:

On peut remarquer sur cette image que le gène négroïde yoruba en bleu n'existait pratiquement pas chez les Guanches, il y a 2 000 ans. Donc le gène négroïde yoruba qui est de +- 10 %, aujourd'hui, chez les nord-africains, il est issu de la traite négrière qui a commencé avec les invasions arabo-musulmanes.
Il faut noter aussi que les omeyyades arabes avaient conclu des accords avec les nubiens (soudan) de leur fournir des esclaves pour éviter une invasion arabe sur leur territoire.
Une autre étude de la génétique des guanches: https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0305440316301686
Photos des guanches prise au 19 siècle unesco:https://whc.unesco.org/en/list/1578/gallery/&index=1&maxrows=12
Les Guanches n’ont jamais été christianisé ni islamisé, ils sont restés des berbères à l’état pur, isolés sur ces îles depuis 2 000 ans jusqu’à la colonisation espagnole, il y a 500 ans.
Le Dr Verneau a montré, à la suite de ses intéressantes recherches aux îles Canaries, que la population la plus ancienne de cet archipel rappelait à la fois le type des Berbères et celui de l'antique race "de Cro-Magnon".
Des traces de présence antisémite ont été identifiés sur ces îles, et dans chacun d'eux il y a aussi des inscriptions rupestres. Ce qui laisse penser que les guanches viennent du sud marocain qui était fort judaïsé et ils ont fui les persécutions du judaïsme qui persécutait les païens comme l'Islam.
Le même antisémitisme se voit dans les populations senhajas du Sahara de l'Ouest qui étaient païens avant de s'islamiser et de persécuter les Juifs surtout sous leur dynastie Al-moravid.
La population nord-africaine est composée de +- 10 % de génome congoloïde noir africain et de +- 3 % de génome arabe (J1-FGC12 (alias S21237)).
Aujourd'hui ces lignées J1-FGC12 plus authentiquement arabes sont présentes dans tout le monde arabophone, mais elles ne représentent qu'une petite minorité des lignées dans chaque pays, à part dans la péninsule arabique.
De nos jours, seuls 40% des Saoudiens et 30% des Jordaniens (berceau des arabes) appartiennent au J1 (la plupart mais pas tous au FGC12). E1b1b-M34 est une autre lignée arabe importante, présente chez 25% des Jordaniens et 10% des Saoudiens. Comme J1-P58, E-M34 il est également partagé avec leurs cousins sémitiques, les Juifs.
Origine Moyen-oriental - principaux pays :
https://www.myheritage.fr/ethnicities/broad-middle-eastern/ethnicity-worldwide-distribution
La branche J1 avec laquelle les arabo-islamistes cherchent à duper les nord-ouest-africains pour leur faire croire qu’ils sont des arabes, elle est très ancienne en Afrique du Nord comme en Europe qui n’a rien à voir avec les invasions arabo-musulmanes.
Les premiers hommes J1 vivaient à la fin du Paléolithique supérieur, peu avant la fin de la dernière période glaciaire. Le plus ancien échantillon J1 identifié à ce jour provient de la grotte de Satsurblia (vers 13200 avant notre ère) en Géorgie ( Jones et al. (2015) ), plaçant les origines de l'haplogroupe J1 selon toute vraisemblance dans la région autour du Caucase, du Zagros, du Taurus et de l'est d'Anatolie au Paléolithique supérieur.
Origine, diffusion et différenciation des haplogroupes E et J du chromosome Y : inférences sur la néolithisation de l'Europe et les événements migratoires ultérieurs dans la région méditerranéenne
https://www.cell.com/ajhg/fulltext/S0002-9297(07)64366-3
Cartes de distribution des mélanges autosomiques en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord:
https://www.eupedia.com/europe/autosomal_maps_dodecad.shtml
En ce qui concerne le Sahara, les travaux, déjà anciens, de l'anthropologue italien Sergi Considéré comme le père de l'anthropologie italienne et fondateur de la psychologie expérimentale, font assez bien connaître la population Garamante du Sahara.
Parmi les crânes recueillis, Sergi reconnaissait 46,6 % de race méditerranéenne, qu'il appelle « Eurafricains », 26,6 % d'« Eurafricains négrifiés » et 26,6 % de négroïdes.
Ces analyses incitent à penser que la population du Sahara à la fin du Néolithique présentait les mêmes variétés que l'actuelle.

Influences hétérogènes du Paléolithique et du Néolithique en Afrique du Nord:https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(19)31241-2.
Cette étude indique que l'influence génétique des fermiers anatoliens du néolithique a été plus importante en Afrique du Nord qu'en Europe.
Les génomes des Européens actuels portent une plus grande quantité de composants de chasseurs-cueilleurs (jusqu'à 50 % chez les Européens du Nord).
La présence de gens appartenant à une même race sur les deux rives de la Méditerrannée n'est pas, du point de vue de l'histoire naturelle, un phénomène extraordinaire. Les pays riverains de cette partie de la Méditerrannée ont la même flore, la même faune.
Il semble qu'il y a là un centre de création ; dans ce centre se serait formée une race humaine, avant les invasions asiatiques des Aryas.
Cette race Adarante de CroMagnon paraît avoir existé seule sur les deux rives de la Méditerrannée. C'est surtout en Afrique du nord-ouest que ses représentants semblent s'être multipliés.
Adarante vient d’Adrar qui veut dire montagne en berbère. Le mot Atlas est une déformation par les grecques du mot berbère Adrar. Hérodote (Melpomène, GLXXXIV) écrit correctement Adarantes.
Si cette race a été appelée adarante, par Hérodote et les anciens historiens, c'est par ce que cette race s'est réfugiée dans les montagnes (adrar), suite aux invasions indo-européennes et qu'elle était certainement nombreuse à l'état pur, à l'époque d'Hérodote, avant de se fondre avec les Aryens.
L'Homme de Cro-Magnon est considéré comme l'ancêtre de la race blanche, l'Homme de Grimaldi l'ancêtre de la race noire, et l'Homme de Chancelade l'ancêtre de la race jaune.
D'après Fr. Tubino, une partie de la population de l'Espagne occidentale appartient à cette race Adarante. Publié en 1876, Los aborígenes ibéricos o los Bereberes en la Península, ouvrage de Francisco María Tubino – secrétaire de la Société d’anthropologie espagnole de Madrid.
La légende de l'Atlantide et des Adarantes, recueillie par Platon, est sans doute le souvenir d'une migration importante de ces peuples vers le nord, lors du réchauffement du climat. Ils s'avancèrent jusqu'à la mer Tyrrhénienne.
Les études de Rinn Louis (Les origines berbères (Congrès d'Alger , 1881) :
https://drive.google.com/file/d/1MxjvYi2lueVKmDTzpTMkXs1Djh3Rmw9P/view?usp=sharing,
et Essais d'études linguistiques et ethnologiques sur les origines des berèbères (Revue africaine, 1881-1885) :
https://drive.google.com/file/d/1YputxL4jK-4yeaOLl-ofrgun_y-l0JO8/view?usp=sharing),

montrent :
1° que beaucoup de noms géographiques en Europe sont berbères (Quelques noms comme Oisan, Mizoen, Talent, Thizy et Thaizé dans la vallée du Rhône, semblent être antérieurs et devoir être reportés à l'époque préceltique);

2° que nombre de mots des anciennes langues de l'Europe occidentale ont des racines berbères d’après Rinn Louis.

Une des peuplades d'Afrique du nord-ouest énumérées par Strabon porte ainsi le nom basque de MuturGorri (les visages rouges : Elisée Reclus, Les Basques, un peuple qui s'en va (Revue des Deux Mondes, mars 1867, p. 313-340) :
https://drive.google.com/file/d/1rFHb9lIeCjmhM2wRU8sTp5GEVp-M6ia9/view?usp=sharing ).

Six tribus mentionnées par Ptolémée sur les bords des Syrtes, cinq ont des noms semblables à ceux de tribus aquitaines ou ibériques.

La ressemblance de ce nom de Ginithes ou Gynètes avec celui de Genata ou Zenata (zénètes) mentionnés par Hérodote,Hérodore et Justin:
https://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1881_num_25_1_68683
Les zénètes (zanata) sont une grande famille berbère dont les tribus jouèrent un rôle important lors de l'invasion arabe. Plus au moins la moitie de la population nord-africaine est issue du groupe linguistique zénète au côté du groupe linguistique branès.

La seconde tribu de Ptolémée, a une similitude entre les Basques, les Tolosates, dont le nom est conservé par Toulouse, les Salasses, tribu ligure, une importante tribu berbère des environs de Kerouan (Tunisie), celle des Slass.
La sixième tribu rappelle celui des Vaccéens ou des Basques, ce nom primitif a été romanisé en Afrique du nord-ouest, défiguré sous la forme de Vacca, ancien nom de Beja. Beja, ou plus correctement Badja, ville qui a succédé à Vacca, est un nom qui se retrouve également aujourd'hui dans la péninsule Ibérique.
Des noms de tribus donnés par des auteurs différents se retrouvent également en Europe.
Les Auschisœ (Auissot) d'Hérédote (liv. II) rappellent les Ausci, Eusk de la vallée de la Garonne.
Description des berbères (libyens) par Hérodote, le premier historien et anthropologue de l'histoire: https://drive.google.com/file/d/1VE_uEj7mc0-UK5kXmwAScomrq2h066uA/view?usp=sharing
Les Austuriens révoltés sous Jovian (364 ans ap. J.-G.) rappellent une peuplade ibérique qui a donné son nom à toute une région (Asturies).
Les Massyles, grande confédération berbère, ont laissé leur nom à tout un territoire tunisien nommé Bled-Siliana.
Ces groupes portaient le nom des fondateurs de Marseille (Massilia) , d’après Rinn Louis. Les voisins des Massylîens de Provence étaient les Sallyes. Cette tribu, fixée vers les bouches du Rhône, émigra en Italie avec une tribu sœur, celle des Libici (de la Saussaye).
Le bras du Rhône vers lequel était fixée cette tribu avait le nom de Bouche Lybique (Pline, Histoire naturelle , liv. III, ch. v, p. 169). L’Afrique du nord-ouest orientale avait le nom de Lybie (Hérodote, Polybe, Diodore, Plutarque). Dans son hisoire des Berbères :
https://drive.google.com/file/d/1_0qtTHUICsgkxQKmNHHdzYYTKYeeljLi/view?usp=sharing ,
M. Fournel estime que les Gysautes d'Hérodote sont les Byzaiènes de Strabon, habitants du pays qui, d'après leur nom, était appelé Zeugitane ou Byzaiène.
Dans la transcription des auteurs grecques, le B remplace indifférement le T. Cette mutation est fréquente chez les peuples de la Garonne. Leur nom, avec les variations de Basques, Vascons, Gascons, en est un exemple frappant.
Les peuples portant ces noms substituant facilement le G au B. Ces mots, Ligures et Lybiens, auraient été les mêmes à l'origine.
Ces nombreuses dénominations identiques permettent d'affirmer une communauté d'origine pour les peuples qui s'étendaient à l'époque historique des bords des Syrtes (Lybie) au Syrticus Ager (golfe de Gascogne).
La légende de l'invasion de l’Afrique du nord-ouest par les compagnons d'Hercule, racontée par Salluste, est probablement un souvenir de la migration des peuples adarantiques refoulés par l'arrivée des Aryens et suivis sans aucun doute par des groupes de ces Aryens: https://fr.wikipedia.org/wiki/Grottes_d%27Hercule_(Tanger).
Ces Aryens sont les Tamahous blonds des monuments égyptiens, les Maschouach, les MaSjueç d'Hérodote. Ils ont constitué les groupes de Lybiens blonds signalés par Scylax (Pér(pZe, chap. Lotophages, p. 147, texte et traduction de Vossius, 1639, et par Gallimaq.ue de Gyrène (Callimaque, Hymne II à Apollon) p. 13, édit. Schneider, Leipzig).
Le fonds des peuples refoulés n'était pas blond, c'était une population brune de race adarantique comme les habitants du pays envahi. Leur nom générique était celui d'Ibères.
Ce souvenir persiste aujourd'hui encore. Duveyrier dit que les Touaregs regardent des hommes venus du nord, les Iabbaren, comme leurs ancêtres. Les nobles Touareg se nomment Ihaggaren (nouvel exemple de la mutation du B en G).
Le nom de Berbère lui-même paraît, n'être que la répétition du mot Ibère avec une reduplication familière à la langue berbère. D'après Rinn Louis, Ibarbaren signifie les immigrants.
Plus tard, les Aryens, pénétrant au milieu de tribus de Ibabaren ou Iberberen, ont appliqué ce nom à tout étranger. De même qu'aujourd'hui les nord-ouest-africains généralisent l'appellation de Roumi (grec du Bas-Empire) à tout étranger venant du nord de la Méditerranée ou Abarkan à tout noir-africain.
La langue des Adarantes a été submergée par celles des Aryens en Europe. Elle a mieux résisté en Afrique du nord-ouest.
Les deux débris encore parlés de la langue adarante en Europe, sont le basque, altéré par l'influence prolongée des langues aryennes, le berbère, par celle des langues sémitiques.
Les travaux linguistiques tendent aujourd'hui à assigner une origine commune à ces deux groupes de langage (Augustin Chaho, Antoine d'Abbadie, Alf. Maury).
Le grand groupe linguistique berbère zénète, il est très proche du basque.
La parenté de la langue berbère et du basque :
https://drive.google.com/file/d/1tvNVbPWVf9PYdo8bMu-HXFr6TVmDBoRX/view?usp=sharing
L'indice céphalique vient appuyer aussi ces recherches des antropologues et des historiens. On voit une dolichocéphalie en Afrique du nord-ouest et dans les péninsules ibérique et italienne. Et ce n'est pas un hazard, malgré la fusion survenue plutard avec les aryens et cette race adarante hyper-dolichocéphalique, la dolichéphalie domine toujours en méditerranée occidentale.
En Europe, il ne reste plus que quelques îlots de la langue des anciens Adarantes, on ne trouve des spécimens purs de cette race que par atavisme ou par îlots.
Dans la Lozère, M. Prunières signale les habitants des Gausses comme représentants de la race Adarante. Ces gens sont bruns, au teint foncé. Ils sont très dolichocéphales, leurs péronés sont cannelés. Quatrefages a rencontré ce type chez une femme des Landes. Verneau a trouvé deux crânes du type Cro-Magnon, l'un datant du xv° siècle, l'autre à l'amphithéâtre des hôpitaux de Paris.
Les Guanches des Canaries (Verneau); Les Corses d'Avapezza d'après (Paul Broca) ; Les Basques de Zarauts et de Villaro (Paul Broca) ;
D'après Fr. Tubino, une partie de la population de l'Espagne occidentale appartient à cette race Adarante;
RAPPORT D’ACTIVITÉ FINAL Contrat Post-doctoral Année universitaire 2012-2013 par José María LANZAROTE GUIRAL:
Les origines africaines de la « race ibérique »:
https://drive.google.com/file/d/1990B6PuHVkK8mltN1ibM10xQdKjUhQy-/view?usp=sharing
La découverte de la nécropole d'Aldaieta dans les pays Basques démontre qu'une lignée de l'ADNmt provenant de l'Afrique du Nord-Ouest confirme l'existence de contact entre la péninsule ibérique et l'Afrique du Nord-Ouest à travers le détroit de Gibraltar, bien avant l'occupation musulmane de la péninsule ibérique.
Carte de distribution de fréquence du R1* (xR1a, R1b3f) - M173 STR loci haplotypes chez les Européens, au Proche Orient et en Afrique du Nord. Populations : 1 : Arméniens (n=238) ; 2 : Turc (n=90) ; 3 : Italiens (n=20) ; 4 : Berbères (n=23) ; 5 : Ibériens Non-Basques (n=437) ; 6 : Tous les Basques (n=209) ; 7 : Croates (n=34) ; 8 : Autrichiens (n=42) ; 9 : Allemands (n=37) ; 10 : Belges (n=31) ; 11 : Frisons (n=52) ; 12 : Danois (n=77) ; 13 : Norvégiens (n=113) ; 14 : Gallois (n=244) ; 15 : Irlandais (n=285) ; 16 : Anglais (n=799) ; 17 : Écossais (n=370) ; 18 : Islandais (n=75).
Ces guerriers indo-européens ont continué leur conquête de l’Afrique du Nord par le détroit de Gibraltar et par la Tunisie.
Les autochtones nord-ouest-africains de race Adarante ont survécu à l’état pur en nombre important, grâce aux hautes montagnes d’Atlas dans le centre marocain et l’Est algérien et grâce aussi au Sahara.
Hérodote évoque un peuple Adarantes (traduit Atarantes) dans l'Atlas marocain.
Les montagnes ont toujours servi de refuge aux populations persécutées.
À l'époque byzantine, les montagnes de la Kabylie ont servi de refuge aux Vandales.
Durant la conquête musulmane, les montagnes du Rif central et du moyen Atlas ont servi de refuge aux visigoths (peuple germanique) persécutés par les Arabes. Aujourd'hui, on trouve encore des phénotypes nordiques à l'état pur dans ces montagnes.
Durant les invasions de ces guerriers indo-européens exclusivement masculines, dans le Nord marocain, l’Ouest algérien, en Tunisie et en Libye, les autochtones de race adarante ont été submergé.
La poursuite par les Aryens de ces populations se confirme aussi par la génétique (ADN). L’haplogroupe typiquement berbère E-M81 qui est apparu durant le néolithique dans la péninsule Ibérique, se concentre à fréquence élevée, dans le Sud marocain, la chaine de montagne Atlas, du Rif centrale et les régions montagneuses de l’Algérie orientale et pré-saharienns.
La fréquence élevée de l'haplogroupe typiquement berbère E-M81 en Tunisie, peut s'expliquer par le retour des berbères refoulés vers le sud par les invasions antérieures aux invasions arabo-musulmanes.
Ce refoulement Stéphane GSELl l'explique bien dans son livre l'histoire ancienne de l'Afrique du Nord:
https://drive.google.com/file/d/1bxTt6Vxp9Kq-fuYp4oOKRvPY5IY9eqvI/view?usp=sharing
Les berbères sahariens sont les premiers à s'islamiser et à adopter certaines coutumes bédouines arabes.
Les côtes méditerranéennes nord-marocaines et ouest-algériennes ont subi le même sort que la péninsule Ibérique et où l’haplogroupe indo-européen R1b est presque, aujourd’hui, de la même proportion qu’en Espagne.
L’haplogroupe indo-européen R1a est assez présent aussi en Afrique du Nord à l'ouest comme à l'Est en Tunisie.
Les côtes atlantiques marocaines ont subi aussi le même sort, en poursuivant ces fermiers du néolithique pour s'emparer de leur richesse issue de l'agriculture, au moins jusqu'à l'actuelle Casablanca où des fouilles archéologiques ont montré la sédentarisation et la naissance de l'agriculture.
Le même sort est arrivé du côté de la Tunisie et de la Libye, Hérodote a cité des troyens en Tunisie et 5 des 6 tribus citées en Libye ont des noms similaires à des régions du sud de la France, de la peinsule Ibérique et de la péninsule italienne.
Hérodote raconte vers 400 avant J.C., des tribus libyens ne contractaient pas de mariage et que les femmes étaient disponible pour tout le monde et le père reconnaissait son enfant qui lui ressemblait après +- 3 ans :
https://drive.google.com/file/d/1VE_uEj7mc0-UK5kXmwAScomrq2h066uA/view?usp=sharing.
Ces traditions ont été certainement importées des péninsules Ibérique et italienne où il y a eu une invasion indo-européenne massive, exclusivement masculine, pendant plus de 400 ans d'après cette étude :
https://hms.harvard.edu/news/spotlight-ancient-iberia .
Ce qui laisse penser que les femmes étaient moins nombreuses et il fallait les partager.
Comme la langue est transmise de la mère à l’enfant, le groupe linguistique berbère zénète du même groupe linguistique de ces fermiers du néolithique européenne comme le basque, est né en Afrique du nord-ouest de cette période comme
le premier pharaon berbère Shéchonq, vers 945 av. J.-C., date du départ du calendier berbère.
L'histoire écrite des Berbères a démarré aussi avec leur indo-européanisation avec l'invention de l'alphabet libyque. La maîtrise du cheval introduit par ces indo-européens leur a permis aussi de contrôler ce vaste territoire allant de la péninsule Ibérique à l'Egypte, mais aussi d'améliorer leurs conditions de vie et du travail.
La plus ancienne mention écrite des anciens Libyens est issue de la Période prédynastique égyptienne et se trouve sur la « palette libyenne »
(en anglais : the Libyan Palette), trouvée à Abydos et conservée au musée égyptien du Caire. Celle-ci mentionne le nom de la tribu libyenne des Tehenou. La plus récente, la palette de Narmer mentionne aussi
les Libyens associés aux Peuples de la mer, une menace constante pour l'Égypte pharaonique.
Les gravures rupestres retrouvées sur la tombe 100 à Hierakonpolis les montrent, sans soucis de réalisme, sur des bateaux à fond plat.


Cette fresque de la tombe de Sethi 1er – de 1294 à 1279 av. J.C. – représente les quatre races connues par les Égyptiens antiques : de gauche à droite, un Libyen (aryen), un Nubien (noir), un Syrien (sémite) et un Égyptien (hamite).
On constate que le Libyen représenté sur cette fresque antique a les caractéristiques physiques d’un Blanc européen.
La Libye antique ne correspondait pas à la Libye d’aujourd’hui. Chez les historiens grecs anciens le nom de Libya (Libye) servait à désigner tout le nord du continent africain, sauf l’Égypte.
D'autres savants exploitent la même piste : les premiers colons de souche européenne en Afrique du nord-ouest.
Divers peuples sont venus peuplés l'Afrique du nord-ouest dans l'antiquité: des souches iraniennes, illyro-pélasgiques, tyrso-pélasgique, etc.
Les premiers colons de souche européenne dans l'Afrique du nord-ouest.
Les invasions des peuples de la mer en méditerranée
L’accalmie n’est survenue qu’à la fin des peuples de la mer issus en partie de ce cocktail d’indo-européens et de la race adarante. L’avènement phénicien a mis fin à cette période tumultueuse qui a duré +- 1 000 ans.
Les premiers royaumes berbères ont commencé à naître comme :
le royaume des Massyles , voisin du royaume des Massæsyles, le royaume de La Maurétanie tingitane et à l'ouest Carthage.
Ce sont ces raisons qui ont poussé Ibn Khaldun à décrire une race zénatienne différente des Berbères de race Adarante (restée +- à l’état pur et non indo-européanisée génétiquement dans les montagnes du grand Atlas marocain, de l'Est algérien et du Sahara de l'ouest mais aussi du sud de la Libye).
Ibn Khaldun distingue les zénètes des berbères.
Au sens large, cette fusion a donné naissance à la race méditerranéenne actuelle.
La même opinion est partagée par Gabriel Camps spécialiste de l'histoire des Berbères, qui parle des paléoberbères pour les berbères de race adarante et des néoberbères pour les zénètes.
Aujourd'hui, les nord-ouest-africains se sont tellement mélangés depuis 4 000 ans, qu'ils forment une seule race et un seul peuple berbère.
La vraie sémitisation de la langue berbère commença avec l’avènement des Phéniciens, les réfugiés cananéens qui fuyaient la guerre dans leur pays, les dynasties pharaoniques berbères d’Egypte et la religion judaïque apportée par les Juifs dès l’an 70 et qui était pratiquée largement par les zénètes.
Cette sémitisation linguistique s'accéléra pendant la civilisation berbéro-punique qui déclencha un big bang civilisationnel dans toute la méditerranée occidentale.
L'haplogroupe E1b1b pourrait bien être associé avec le premier développement du mode de vie néolithique et l'avènement de l'agriculture, que l'on pense à l'heure actuelle s'être développée dans le Croissant Fertile, mais qui aurait pu apparaître plus tôt dans des régions du nord de l'Afrique.
L'agriculture s'est ensuite propagé du Proche-Orient vers l'Europe, dans un premier temps principalement par des éleveurs.
Cinq sous-clades majeurs d'E1b1b (V12, V13, V22, M81, M123) tirent leurs origines du nord de l'Afrique avant le néolithique.
La plupart des sous-clades principales sont par conséquent présentes pratiquement dans toutes les régions où l'on trouve l'Haplogroupe E1b1b.
La seule exception est la Norvège, la Suède et la Finlande, où seul E-V13 semble être présent.
E1b1b1a1 (ou E-M78, anciennement E3b1a) est la variété la plus commune de l'haplogroupe E entre européens.
Lazaridis et al. (2016) ont testé les premiers échantillons d'ADN anciens de la culture mésolithique natoufienneen Israël, peut-être la plus ancienne communauté sédentaire du monde, et a constaté que les individus mâles appartenaient soit aux haplogroupes CT ou E1b1.
L'agriculture céréalière trouve donc ses racines (littéralement) dans les tribus E1b1b du Levant mésolithique.
Grâce à la maîtrise du cheval par ces néoberbères zénètes, les Ifrénides zénètes avaient le contrôle de l'or des Phéniciens aux Romains qui provenait de l'Afrique noire, après avoir ouvert des brèches à travers le Sahara habité par les Gétules de race hamitique.
Le cheval le barbe est un cheval typiquement berbère. Les fresques du Tassili, recensées par le préhistorien Henri Lhote, tendent à attester une présence du cheval en Afrique du Nord remontant à 5 000 ans av. J.-C., bien que cette interprétation puisse être contestée. Environ 1 200 ans av. J.-C., le cheval domestique est introduit par des peuples humains dont l'origine reste à déterminer. Jean-Louis Gouraud estime « probable » que ces chevaux soient à l'origine du Barbe.
Vu qu’on trouve l’haplogroupe R1b assez important chez les berbères guanches des Iles Canaries des fouilles paléoanthropologiques qui ont été isolés pendant
2 000 ans sur ces îles, comme chez les Berbères Senhadjas de l’extrême sud de la Mauritanie et du nord du Sénégal et les Touaregs du Mali et du burkina-fasso.
Ces indications laissent penser que le cheval a été introduit en Afrique du Nord par les indo-européens.
La branche levantine et africaine de R1b (V88): https://www.eupedia.com/europe/Haplogroup_R1b_Y-DNA.shtml#Africa
Le Tassili n'Ajjer est un vaste plateau du sud-est algérien aux confins de la Libye, du Niger et du Mali, couvrant une superficie de 72 000 km2. L'exceptionnelle densité de peintures et de gravures, et la présence de nombreux vestiges préhistoriques, sont de remarquables témoignages de la Préhistoire, de 10 000 avant J.-C. https://whc.unesco.org/en/list/179
Le cheval Barbe est élevé depuis l’antiquité pour la chasse, la guerre, la parade et le travail. Il est le compagnon traditionnel des nomades, des éleveurs des Atlas et des Hauts Plateaux.
Quoi qu'il en soit du peuplement de l'Afrique du Nord, l'histoire, la paléoanthropologie, l'archéologie et la génétique prouvent que nous sommes des Berbères au moins à
50 %, des indo-européens au moins à 25 %, des Phéniciens (cananéens et juifs compris) à +- 10 %, des noirs-africains à +- 10 % et des arabes à moins de 5 %.
Ces chiffres légitiment l'éradication de la psychose arabo-islamiste de l'Afrique du Nord et des cœurs des nord-ouest-africains.
Quant aux péninsules Ibérique et Italienne, elle ont été envahi par d’autres vagues indo-européennes, mais cette fois-ci avec leurs familles et leurs femmes, ce qui a fait reculer les langues des autochtones Ibères issus du même groupe linguistique que le berbère zénète.

L’ouverture au monde méditerranéen
Les mutations qui ont infléchi les royaumes maures et numides vers des monarchies de type hellénistique se sont accompagnées d’un processus d’ouverture au monde méditerranéen qui en fut même la condition première : celui-ci a pris la forme de relations diplomatiques et militaires avec les puissances dominantes du temps, Carthage, Rome, les royaumes et les cités helléniques, accompagnées d’une participation active aux échanges commerciaux.
Les royaumes maures ont ceci d’original que les deux manifestations principales de ce processus (politique et économique) ont obéi à des rythmes différents selon les époques. A l’époque la plus ancienne, on observe un décalage assez marqué entre leur insertion précoce dans les courants économiques méditerranéens et leur intégration aux alliances et aux conflits qui affectèrent l’espace méditerranéen.
En effet, bien que ces royaumes aient abrité des cités de Libyphéniciens au même titre que les royaumes numides, et que les produits ibériques et puniques se retrouvent en abondance sur
les sites côtiers de Maurétanie occidentale, ils ont toutefois conservé une certaine distance vis-à-vis
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