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Qui a vraiment assassiné le président Kennedy ? Et pourquoi ?


Qui a vraiment assassiné le président Kennedy ? Et pourquoi ?

Les propos du général de Gaulle qu’Alain  Peyrefitte rapporte dans son livre  C’était de Gaulle,  sont bien énigmatiques,  car la déduction qu’il tire de ce constat,  à savoir que la vérité sur la mort du président Kennedy (1917-1963) ne sera jamais connue, laisse croire que, quant à lui, il ne l’ignorait pas… (Source : Alain Peyrefitte, C’était  de Gaulle, Editions de Fallois/Fayard, 1997, vol. 2, page 44).
Le dernier livre de l’historien allemand Oliver Lubrich, professeur  de littérature comparée à l’Université de Berne, ouvre quelques pistes  au sujet de la personnalité du président assassiné (Oliver Lubrich, John F. Kennedy, Unter Deutschen – Reisetagbücher und Briefe 1937-1945, Aufbau Verlag, 2013, 256 pages).  Ces écrits confidentiels furent rédigés par le futur président des Etats-Unis  lors de ses voyages en Europe, le premier en 1937, deux ans avant le  déclenchement de la Deuxième guerre mondiale, le deuxième en août 1945,  dans une Allemagne dévastée par les bombardements de terreur de  l’aviation alliée.
Pour ces vingt ans, John F. Kennedy avait eu droit au traditionnel voyage  d’agrément en Europe, tradition bien établie dont bénéficiaient alors les fils de bonne famille de la Côte Est. Lors de son séjour à Milan,  en août 1937, il note que le fascisme est une bonne chose pour l’Italie. Il précise même : « Que sont les maux du fascisme comparés à ceux du communisme ? ». Deux semaines plus tard, alors qu’il visite la Rhénanie,  ses vieilles cités chargées d’histoire et ses châteaux perchés au bord du Rhin, tout cela lui inspire des réflexions sur la supériorité de  la culture germanique. Il note surtout : « Ces Allemands sont  vraiment trop bons… ».
Août 1945, changement de décor. John F. Kennedy, qui a fait la campagne  du Pacifique dans l’U.S. Navy, très loin du théâtre des opérations de la  vieille Europe,  se rend en Allemagne comme correspondant de presse et  chargé de mission auprès  des Nations Unies. La visite des ruines de  la résidence  d’Hitler à Berchtesgaden l’incite à écrire dans son journal intime :  « L’ambition sans bornes que Hitler avait pour son pays représentait une  menace  pour le monde, mais il y avait quelque chose de mystérieux dans sa  manière de vivre et de mourir.  Il était de l’étoffe dont sont faits les héros de  légende, une légende qui va lui survivre et se réincarner. »
John F. Kennedy, sans le savoir au moment où il écrivait ces lignes  prémonitoires, allait lui aussi marcher dans les pas de ceux qui  s’opposèrent à la religion du Veau d’Or.
Chacun sait que le 35ème président des Etats-Unis ne s’est pas suicidé, puisqu’il fut assassiné à Dallas le 22 novembre 1963 par un tireur isolé, présumé seul coupable, lui-même abattu peu après dans des circonstances  qui n’ont jamais été élucidées par Jacob Rubinstein (Jack Ruby), un homme  de main de la puissante communauté juive du Texas. Le 4 juin 1963,  le président Kennedy avait signé le décret No 111 110 attribuant à la  seule autorité de l’Etat l’émission de billets de banque, une décision  courageuse priseen faveur du peuple américain, mais contraire aux  intérêts du lobby international de l’usure, puisqu’elle abrogeait le privilège  d’émission détenupar la Federal Reserve Bank, laquelle fait office de banque  centrale aux Etats-Unis. Le premier acte officiel de son successeur, le vice-président Lyndon Johnson,  fut de supprimer cette réforme.
John Fitzgerald Kennedy aurait dû se souvenir que cent ans auparavant, son prédécesseur élu à la présidence des Etats-Unis, Abraham Lincoln (1809-1865), avait voulu s’affranchir des services de la banque Rothschild, le principal financier de la guerre de Sécession, en faisant imprimer sous la seule autorité du Trésor public un « Billet d’Etat », le Greenback. Le Président Lincoln est mort assassiné par un tireur isolé, lui aussi abattu dans des circonstances qui n’ont jamais été élucidées. On sait toutefois que son assassin, John Wilkes Booth, Juif lui-même, rencontra des dirigeants du B’naï B’rith le 14 avril 1865, le jour même de son crime.
(Source : E. Ratier, Mystères et secrets du B’naï B’rith,  Ed. Facta, Paris, 1993, page 40)
Le successeur de Lincoln, le vice-président Andrew Johnson,  s’empressa de supprimer l’émission de ces « Billets d’Etat ». John Fitzgerald Kennedy aurait dû garder à l’esprit que la Federal Reserve Bank,  seule institution autorisée à émettre de l’argent, fut instituée en 1913 par
le président Wilson à l’instigation des membres fondateurs suivants :
·       Rothschild Bank (Londres, Paris et Berlin)
·       Lazard Brothers Bank (Paris)
·       Israel Moses Seif Bank (Rome)
·       Warburg Bank (Hambourg et Amsterdam)
·       Lehman Brothers Bank (New York)
·       Kuhn Loeb Bank (New York)
·       Chase Manhattan Bank (New York)
·       Goldman Sachs Bank (New York)
Ce cartel bancaire représente aux Etats-Unis un pouvoir privé plus puissant que  les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire réunis.  Ce pouvoir s’appuie sur trois privilèges exorbitants :
1.  Le cartel de la Federal Reserve Bank peut émettre sous sa seule autorité des dollars qu’il prête au Trésor public américain, à d’autres Etats et à d’autres banques, raison pour laquelle le gouvernement américain peut se permettre d’accroître le déficit du budget, puisqu’il suffit au cartel de faire tourner la planche à billets.
2.  Le cartel de la Federal Reserve Bank fixe sous sa seule autorité les taux d’intérêts qui sont payés par ses débiteurs.  A cause d’un  déficit budgétaire illimité, le service de la dette publique représente à lui seul une charge énorme qui pèse sur le contribuable américain.
3.  Le cartel de la Federal Reserve Bank décide sous sa seule autorité qui pourra bénéficier et à quelles conditions de  ses services financiers, en fournissant aux banques les fonds nécessaires.
Pourtant, John F. Kennedy était très bien informé des arcanes secrets  de ce monde, ce qui ne l’empêcha pas d’oser lever un coin du voile lors  d’un discours publicprononcé le 27 avril 1961 à l’hôtel  Waldorf-Astoria (New York) pour le National Press Club : « (…) le mot « secret » est en lui-même répugnant au sein d’une société libre et ouverte. Et en tant que peuple, par nature et historiquement, nous nous opposons aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes. Nous avons constaté, depuis longtemps, que les dangers d’une dissimulation excessive et sans contrôle dépassent de loin ceux que cette manipulation prétend éviter. Même de nos jours, il y a peu de danger à s’opposer à une société secrète en imitant ses méthodes. Même de nos jours, il n’y a que peu d’intérêt à assurer l’avenir de la Nation si nos traditions ne survivent pas avec elle, mais il y a encore un danger plus grand : qu’un besoin de sécurité accru soit prétexté par ceux avides d’étendre leur pouvoir jusqu’à l’extrême limite de la censure et de la dissimulation. Cela, je n’ai pas l’intention de le laisser faire dans la mesure de mes attributions.  Car nous devons faire face à une conspiration massive et impitoyable  qui s’appuie principalement sur des moyens dissimulés afin d’étendre  sa sphère d’influence basée sur l’infiltration plutôt que l’invasion.  Utilisant la subversion plutôt que les élections, l’intimidation plutôt que  le libre-arbitre, la guérilla de l’ombre plutôt que la guerre au grand jour.  C’est un système qui a recruté énormément de ressources humaines et  matérielles dans l’édification d’une machine étroitement soudée,  et d’une efficacité remarquable, qui combine des opérations militaires,  diplomatiques, de renseignements économiques, scientifiques et politiques.  Leurs planifications sont occultées et non publiées. Leurs erreurs sont passées  sous silence et non relayées par la presse.  Leurs détracteurs sont réduits au silence, et leur avis non sollicité.  Aucune dépense n’est remise en question, aucun secret n’est révélé.  C’est pourquoi le législateur athénien Solon rendit hors la loi le fait  de se désintéresser du débat public pour un citoyen. Je sollicite votre aide,  dans l’immense tâche d’informer et d’alerter le peuple américain,  avec la certitude qu’avec votre soutien l’homme redeviendra ce pourquoi il est né : libre et indépendant. »
Jésus-Christ signa son arrêt de mort lorsqu’il chassa les marchands  du Temple, les présidents des Etats-Unis Abraham Lincoln et John F. Kennedy  furent assassinés lorsqu’ils voulurent réformer le système financier  des Etats-Unis,  quant à Adolf Hitler,  il fut éliminé alors qu’il avait réussi à  délivrer l’Allemagne  des griffes des usuriers internationaux.
Voilà l’explication du « mystère » qui frappa tant John F. Kennedy  lors de sa visite à l’Obersalzberg en août 1945 et des propos  énigmatiques du général De Gaulle.

René-Louis Berclaz

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